Ou plutot quand ca va moins bien.
Depuis quelques jours, je suis très occupé, beaucoup beaucoup de choses à faire, toujours trop peu de temps pour les faire, ou peut etre et plus surement, une mauvaise organisation du temps qui fait que j'en perds surement beaucoup sans qu'il soit optimisé.
Enfin soit, tout ca pour dire que je prend le temps d'ecrire quand j'en ressens le besoin. J'ai repris ce blog parce que j'en ressentais le besoin, c'est un plaisir d'ecrire, bon pas forcément de lire, mais il faut tout de même se plier aux contraintes du quotidien.
D'ailleurs c'est tout cela qui explique ma pauvreté en terme de visionnage de films. Rien de bien depuis des lustres, et rien tout court depuis trop longtemps. Je regarde les premiers épisodes des premieres saisons de "The Shield" parce que j'avais raté le début, mais sans ca, rien de bien interessant à ce mettre sous les yeux.
J'attend donc de voir ce que l'avenir me reserve, en regardant un peu les sorties ciné, et ce n'est pas Mister Bean, ou je ne sais quoi, qui pourra me motiver à retourner dans les salles obscures.
Wait and see donc, en attendant mieux...
Petit diary melant histoires quotidiennes et billets d'humeur sur le monde. (et aussi critiques ciné de qualité :))
lundi, avril 30, 2007
vendredi, avril 27, 2007
Mstislav Rostropovitch
Inoubliable.
Cette image du maitre jouant du violoncelle devant le mur de Berlin le 11 novembre 1989. Je crois qu'en la revoyant elle procure une grande émotion à tout ceux qui ont pu comprendre la symbolique de tout cela.
Etrange aussi de voir que cet homme, mort aujourd hui à l'age de 80 ans, était plus connu pour ses amitiés, ses convictions, ses combats politiques, que pour sa musique.
Un homme à la destinée flamboyante, qui réussit à faire de la musique un outil politique, promouvant des idées de libertés et d'égalité.
Il est facile de se placer du coté des plus faibles lorsque ca ne coute rien, de se dresser contre l'injustice quand il n'y a pas de risque à le faire, mais c'est beaucoup plus compliqué d'agir, d'en subir les conséquences, et de reussir à la fin, à transcender tout cela pour atteindre une sorte de sagesse que ce grand homme avait atteint.
Je ne connais malheureusement pas bien la musique classique, son interpretation me transporte, mais je ne sais pas trop ou, je pense que je ne saisis pas toutes les nuances de sa musique, mais lorsque les circonstances sont réunis, j'aime essayer d'apprécier à ma modeste echelle, des talents comme le sien.
Ciao l'artiste...
Cette image du maitre jouant du violoncelle devant le mur de Berlin le 11 novembre 1989. Je crois qu'en la revoyant elle procure une grande émotion à tout ceux qui ont pu comprendre la symbolique de tout cela.
Etrange aussi de voir que cet homme, mort aujourd hui à l'age de 80 ans, était plus connu pour ses amitiés, ses convictions, ses combats politiques, que pour sa musique.
Un homme à la destinée flamboyante, qui réussit à faire de la musique un outil politique, promouvant des idées de libertés et d'égalité.
Il est facile de se placer du coté des plus faibles lorsque ca ne coute rien, de se dresser contre l'injustice quand il n'y a pas de risque à le faire, mais c'est beaucoup plus compliqué d'agir, d'en subir les conséquences, et de reussir à la fin, à transcender tout cela pour atteindre une sorte de sagesse que ce grand homme avait atteint.
Je ne connais malheureusement pas bien la musique classique, son interpretation me transporte, mais je ne sais pas trop ou, je pense que je ne saisis pas toutes les nuances de sa musique, mais lorsque les circonstances sont réunis, j'aime essayer d'apprécier à ma modeste echelle, des talents comme le sien.
Ciao l'artiste...
mardi, avril 24, 2007
Accueil
Je suis tres mauvais en orthographe. En fait je suis un grand étourdi, qui en plus ne se relie pas, ce qui fait qu'il manque souvent des lettres, qu'elles sont inversées ou pire que plusieurs fautes dans un post peuvent se glisser.
Oui mais voila, je suis tout de même un intégriste de l'orthographe sur UN mot. Il y a un mot qui me gène lorsque je le vois mal orthographier, il s'agit du mot : ACCUEIL.
Quand j'arrive sur un site et que je vois Acceuil, j'ai envie de me barrer directement, sans même laisser la moindre chance à la personne ni au contenu.
Pas de pitié. Pourtant dieu sait que je ne suis pas un modèle, bien loin de la, et je sais que mes tares doivent me conduirent à une attitude plus tolérante vis à vis de mon prochain.
Oui mais pas sur Accueil. Je sais pas, peut etre que ca remonte à un traumatisme profond de quand j'etais petit, et qu'à l'ecole, n'ayant rien retenu, j'ai souhaité me donner bonne conscience en écrivant correctement ce matin.
Le résultat n'en reste pas moins violent, et mon intolérance n'a d'egal que la pietre qualité de mon orthographe. Un sectarisme évident pour les accents, parfois j'en met, parfois non, j'avoue que ca ne me derange pas du tout les accents, mais je suis conscient que ca doit etre tres ennuyeux à lire.
Même si l'orthographe laisse à désirer sur ce blog, j'espere tout du moins qu'une chose est bonne ici, c'est......l'accueil :)
Oui mais voila, je suis tout de même un intégriste de l'orthographe sur UN mot. Il y a un mot qui me gène lorsque je le vois mal orthographier, il s'agit du mot : ACCUEIL.
Quand j'arrive sur un site et que je vois Acceuil, j'ai envie de me barrer directement, sans même laisser la moindre chance à la personne ni au contenu.
Pas de pitié. Pourtant dieu sait que je ne suis pas un modèle, bien loin de la, et je sais que mes tares doivent me conduirent à une attitude plus tolérante vis à vis de mon prochain.
Oui mais pas sur Accueil. Je sais pas, peut etre que ca remonte à un traumatisme profond de quand j'etais petit, et qu'à l'ecole, n'ayant rien retenu, j'ai souhaité me donner bonne conscience en écrivant correctement ce matin.
Le résultat n'en reste pas moins violent, et mon intolérance n'a d'egal que la pietre qualité de mon orthographe. Un sectarisme évident pour les accents, parfois j'en met, parfois non, j'avoue que ca ne me derange pas du tout les accents, mais je suis conscient que ca doit etre tres ennuyeux à lire.
Même si l'orthographe laisse à désirer sur ce blog, j'espere tout du moins qu'une chose est bonne ici, c'est......l'accueil :)
lundi, avril 23, 2007
And the winner is ???
Hier soir, resultats des elections présidentielles.
Plutot que de revenir sur le score, ou faire une analyse à deux balles, je vais plutot m'attarder sur ma recherche des résultats.
Comme tous le monde je pense, je me suis dis "bon ok, a 18h, tu vas tranquillou sur le site de Morandini, tu te mates les resultats peinard et t'es plus malin que les autres".
Bon décidement Internet c'est toujours compliqué :)
Morandini a finalement rien annoncer, il s'est contenté de profiter du buzz, de toucher surement un paquet de fric en pub, ainsi qu'en revenant dans l'actu. Karl Zero....pareil
A ma connaissance donc, aucun site français n'a pris le risque de publier les résultats. Faut dire que 75000 € ca calme un peu, mais bon Morandini avec ce qu'il a gagné directement ou indirectement avec le buzz, il aurait pu jouer le jeu à fond... Enfin bon...
Du coup je suis aller en cache des sites de nos voisins francophones. Et bien bonjour la galère. J'ai finalement trouvé un site que je donne ici évidemment au cas ou ca interesse certaisn curieux : http://www.romandie.com.
A 18h10 je crois les premieres tendances sont apparus (ils feront de même pour le second tour). Entre les sites completement saturés, les sites fermés, les sites bloqués, c'est le seul site potable (je dis potable car il a quand même subit une grosse charge au alentour de 18h) et qui a donné les résultats.
Et quels résultats !!!
L'ordre était bon mais les chiffres moins :
1) Sarkozy : 26.5 %
2) Royal : 26%
3) Bayrou : 16%
Grosse erreur sur Sarko (et donc sur l'aspect mega serré que j'avais vu a 18h) et legere erreur de Bayrou, mais bon ce sont des sondages sorties des urnes, ca n'engage évidemment que ceux qui les croit.
Donc il est bon de savoir si vous faites le choix de ne pas attendre 18h, que quelque soit les resultats qu'on vous donnera, ils ne seront pas forcément juste, ce seront des tendances qui ont le merite d'exister.
Pour le 6 mai, rendez vous aux urnes, pour savoir qui va sortir vainqueur, et peut etre que si je me le sens, je balançerais les résultats en live ici (ce site étant moins saturé que les gros sites de news)
Mais bon d'ici la peut etre que Morandini m'aura appelé pour me convaincre de pas le faire :)
A bon electeur...
Plutot que de revenir sur le score, ou faire une analyse à deux balles, je vais plutot m'attarder sur ma recherche des résultats.
Comme tous le monde je pense, je me suis dis "bon ok, a 18h, tu vas tranquillou sur le site de Morandini, tu te mates les resultats peinard et t'es plus malin que les autres".
Bon décidement Internet c'est toujours compliqué :)
Morandini a finalement rien annoncer, il s'est contenté de profiter du buzz, de toucher surement un paquet de fric en pub, ainsi qu'en revenant dans l'actu. Karl Zero....pareil
A ma connaissance donc, aucun site français n'a pris le risque de publier les résultats. Faut dire que 75000 € ca calme un peu, mais bon Morandini avec ce qu'il a gagné directement ou indirectement avec le buzz, il aurait pu jouer le jeu à fond... Enfin bon...
Du coup je suis aller en cache des sites de nos voisins francophones. Et bien bonjour la galère. J'ai finalement trouvé un site que je donne ici évidemment au cas ou ca interesse certaisn curieux : http://www.romandie.com.
A 18h10 je crois les premieres tendances sont apparus (ils feront de même pour le second tour). Entre les sites completement saturés, les sites fermés, les sites bloqués, c'est le seul site potable (je dis potable car il a quand même subit une grosse charge au alentour de 18h) et qui a donné les résultats.
Et quels résultats !!!
L'ordre était bon mais les chiffres moins :
1) Sarkozy : 26.5 %
2) Royal : 26%
3) Bayrou : 16%
Grosse erreur sur Sarko (et donc sur l'aspect mega serré que j'avais vu a 18h) et legere erreur de Bayrou, mais bon ce sont des sondages sorties des urnes, ca n'engage évidemment que ceux qui les croit.
Donc il est bon de savoir si vous faites le choix de ne pas attendre 18h, que quelque soit les resultats qu'on vous donnera, ils ne seront pas forcément juste, ce seront des tendances qui ont le merite d'exister.
Pour le 6 mai, rendez vous aux urnes, pour savoir qui va sortir vainqueur, et peut etre que si je me le sens, je balançerais les résultats en live ici (ce site étant moins saturé que les gros sites de news)
Mais bon d'ici la peut etre que Morandini m'aura appelé pour me convaincre de pas le faire :)
A bon electeur...
dimanche, avril 22, 2007
Good Bye Bafana
Ce film est sorti recémment, et j'ai eu l'occasion et le chance de le voir. Encore un film sur l'Afrique, décidement, c'est devenu tendance, avec cette fois un focus sur la captivité de Neslon Mandela à travers le vie du responsable de sa surveillance.
Un film que j'ai apprécié, je pense, même si je l'ai trouvé parfois un peu long. En fait a mieux y reflechir, je pense qu'il y a 15 ou 20 minutes qui auraient pu etre enlever, pour garder une densité supplémentaire.
A part ca, le film est vraiment bien ficellé. Les acteurs, a commencer par Joseph Fiennes, sont vraiment excellents, et permettent a travers l'ecran de ressentir en partie la compléxité de la situation sud africaine au temps de l'Apartheid.
Le destin croisé de deux hommes que tout oppose, et qui pourtant vont inéxorablement se rapprocher au point de former à eux deux une caricature de la situation politique de l'epoque.
Un film interessant donc, peut etre un peu facile, comme toujours avec les biopics, mais il a le merite d'exister, d'informer, et de témoigner, ce qui est deja tres important.
Il merite bien un bon 13/20 pour l'interet et le plaisir qu'il m'a procurer, en esperant pouvoir voir un jour un film plus "politique" sur cette période de l'histoire...
Un film que j'ai apprécié, je pense, même si je l'ai trouvé parfois un peu long. En fait a mieux y reflechir, je pense qu'il y a 15 ou 20 minutes qui auraient pu etre enlever, pour garder une densité supplémentaire.
A part ca, le film est vraiment bien ficellé. Les acteurs, a commencer par Joseph Fiennes, sont vraiment excellents, et permettent a travers l'ecran de ressentir en partie la compléxité de la situation sud africaine au temps de l'Apartheid.
Le destin croisé de deux hommes que tout oppose, et qui pourtant vont inéxorablement se rapprocher au point de former à eux deux une caricature de la situation politique de l'epoque.
Un film interessant donc, peut etre un peu facile, comme toujours avec les biopics, mais il a le merite d'exister, d'informer, et de témoigner, ce qui est deja tres important.
Il merite bien un bon 13/20 pour l'interet et le plaisir qu'il m'a procurer, en esperant pouvoir voir un jour un film plus "politique" sur cette période de l'histoire...
samedi, avril 21, 2007
300
Grosse production du moment, le film tiré d'une BD de Franck Miller à tres bien marchée outre Atlantique.
Sur le papier le sujet m'interesse. Leonidas, roi des Spartes, prend 300 hommes avec lui pour défier Xerces le dieu/empereur des Perses.
Le resultat est plus mitigé. L'acteur qui joue Leonidas, il faut le reconnaitre est parfait, le rendu de l'image fait assez BD, et le film en lui même est plutot divertissant dans le genre "film d'action".
Pour autant, et comme souvent dans ce genre de film, trop peu de place est laissé au contexte, historique et politique pour que cela m'interesse.
J'ai aussi trouvé le ryhtme etrange, normalement dans ce genre de film, la préparation à la bataille prend toujours beaucoup de temps, avec une bataille finale grandiose. La, ce n'est pas le cas, la bataille commence tres vite, film d'ailleurs est plutot court pour le genre, et la fin n'est pas aussi flamboyante que certains films du même acabit.
Il n'en reste pas moins que 300 est regardable pour ce qu'il est. Par un film d'auteur, intimiste et conceptuel, mais un bon film qui a le mérite de ne pas tomber dans les clichés au combien éculés de Troie ou de Gladiator.
Pour moi ce fut donc un bon moment de passé, un bon 12/20, rien de transcendant a me mettre sous la temps depuis un petit moment, mais comme la sensation que cela va changer bientot...
A bon entendeur...
Sur le papier le sujet m'interesse. Leonidas, roi des Spartes, prend 300 hommes avec lui pour défier Xerces le dieu/empereur des Perses.
Le resultat est plus mitigé. L'acteur qui joue Leonidas, il faut le reconnaitre est parfait, le rendu de l'image fait assez BD, et le film en lui même est plutot divertissant dans le genre "film d'action".
Pour autant, et comme souvent dans ce genre de film, trop peu de place est laissé au contexte, historique et politique pour que cela m'interesse.
J'ai aussi trouvé le ryhtme etrange, normalement dans ce genre de film, la préparation à la bataille prend toujours beaucoup de temps, avec une bataille finale grandiose. La, ce n'est pas le cas, la bataille commence tres vite, film d'ailleurs est plutot court pour le genre, et la fin n'est pas aussi flamboyante que certains films du même acabit.
Il n'en reste pas moins que 300 est regardable pour ce qu'il est. Par un film d'auteur, intimiste et conceptuel, mais un bon film qui a le mérite de ne pas tomber dans les clichés au combien éculés de Troie ou de Gladiator.
Pour moi ce fut donc un bon moment de passé, un bon 12/20, rien de transcendant a me mettre sous la temps depuis un petit moment, mais comme la sensation que cela va changer bientot...
A bon entendeur...
vendredi, avril 20, 2007
Histoire de campagne
Alors que tous les français attendant une impatience incroyable le premier tour des elections présidentielles, j'ai entendu ce matin une anecdote amusante.
Retour en arrière, election de 1995. Jacques Chirac contre Balladur et Jospin. Les elections sont sérrées, et toutes les voix sont bonnes.
L'action se déroule à Pondichery, comptoire français, ou il y avait à l'epoque 5000 ressortissants français qui votaient.
Pour la plupart, ils ne parlaient plus le français, car en Inde, ce n'est pas du tout la langue officielle. D'obédience plutot gaulliste (le général De Gaulle a beaucoup fait pour eux) Pondichery devait donc voter selon toute vraisemblance Chirac au premier tour.
Pour s'en assurer, le RPR a transmis des conditions de vote surtout à ceux qui ne parlaient pas bien français. Ils ont en effet préciser à tous qu'il fallait, pour voter gaulliste, utiliser le bulletin de vote avec le nom du candidat qui commence par "CH" (logique vu que le vote devait aller à Chirac)
Excellente idée et grande prevoyance de leur part, sauf que les résultats ce jour la on mis en tete de l'election un certain Jacques CH...........eminade
Comme quoi, il faut penser à tout :)
Retour en arrière, election de 1995. Jacques Chirac contre Balladur et Jospin. Les elections sont sérrées, et toutes les voix sont bonnes.
L'action se déroule à Pondichery, comptoire français, ou il y avait à l'epoque 5000 ressortissants français qui votaient.
Pour la plupart, ils ne parlaient plus le français, car en Inde, ce n'est pas du tout la langue officielle. D'obédience plutot gaulliste (le général De Gaulle a beaucoup fait pour eux) Pondichery devait donc voter selon toute vraisemblance Chirac au premier tour.
Pour s'en assurer, le RPR a transmis des conditions de vote surtout à ceux qui ne parlaient pas bien français. Ils ont en effet préciser à tous qu'il fallait, pour voter gaulliste, utiliser le bulletin de vote avec le nom du candidat qui commence par "CH" (logique vu que le vote devait aller à Chirac)
Excellente idée et grande prevoyance de leur part, sauf que les résultats ce jour la on mis en tete de l'election un certain Jacques CH...........eminade
Comme quoi, il faut penser à tout :)
jeudi, avril 19, 2007
L'Ivresse du pouvoir
Un film qui a sa sortie avait fait un peu de bruit, principalement à cause de sa ressemblance je pense quasi avouée avec l'affaire ELF.
Un film de Claude Chabrol, l'eternel réalisateur, qui réalise la encore un film porté par des acteurs tres crédible.
François Bérléand est particulierement bon dans son role de président de multinationale empetré dans une affaire de magouille.
D'ailleurs c'est peut etre la le defaut du film à mon sens. On survole l'aspect judiciaire, économique et financier, pour ne garder presque que le coté personnel des rapports humains entre les différents protagonistes.
C'est un petit dommage, voir même beaucoup à y repenser, parce que l'interet pour moi du film (ou tout du moins de l'inspiration ELF) était justement dans l'etude à la Stone, de l'affaire, afin d'en sortir une théorie évidemment subjective, mais qui permet au spectateur de reflechir.
La non, on prend tout dans la tronche comme des vérités, et même si c'est crédible et bien joué, ca manque de profondeur, tout est traité avec légéreté, on passe du coq à l'ane, c'est un peu fatiguant à la fin.
Du coup, un film lassant, bien qu'ayant un potentiel interessant, un sentiment de frustration pour moi à la fin, comme si j'esperais quelque chose du sujet (évidemment c'est ce que moi j'esperais, pas une vérité absolue et catégorique), et qu'au final le résultat ne tienne pas les promesses que j'avais mis dans ce film. Ca existe le modeste 10/20 que je peux lui donner, somme toute mérité, un film moyen sur tous les plans...
Un film de Claude Chabrol, l'eternel réalisateur, qui réalise la encore un film porté par des acteurs tres crédible.
François Bérléand est particulierement bon dans son role de président de multinationale empetré dans une affaire de magouille.
D'ailleurs c'est peut etre la le defaut du film à mon sens. On survole l'aspect judiciaire, économique et financier, pour ne garder presque que le coté personnel des rapports humains entre les différents protagonistes.
C'est un petit dommage, voir même beaucoup à y repenser, parce que l'interet pour moi du film (ou tout du moins de l'inspiration ELF) était justement dans l'etude à la Stone, de l'affaire, afin d'en sortir une théorie évidemment subjective, mais qui permet au spectateur de reflechir.
La non, on prend tout dans la tronche comme des vérités, et même si c'est crédible et bien joué, ca manque de profondeur, tout est traité avec légéreté, on passe du coq à l'ane, c'est un peu fatiguant à la fin.
Du coup, un film lassant, bien qu'ayant un potentiel interessant, un sentiment de frustration pour moi à la fin, comme si j'esperais quelque chose du sujet (évidemment c'est ce que moi j'esperais, pas une vérité absolue et catégorique), et qu'au final le résultat ne tienne pas les promesses que j'avais mis dans ce film. Ca existe le modeste 10/20 que je peux lui donner, somme toute mérité, un film moyen sur tous les plans...
mercredi, avril 18, 2007
ICE
Il ne s'agit pas d'une volonté de partir au ski alors que le temps se préterait presque plus à la place, mais plutot à l'initiative des ambulanciers du monde entier.
En effet, lorsqu'il arrive un accident de la route, une des questions importantes que les ambulanciers se posent est "qui contacter?"
Or avec l'essor des téléphones portables, chacun se promene avec le sien dans la poche, et donc souvent la personne ayant un accident possede ce téléphone.
Pratique pourrait on penser aux premiers abords. Il suffit de regarder le téléphone, dans le repertoire, et vous trouvez souvent une personne à appeler de la famille ou des proches. Oui ok, mais soyons franc, il est plus que difficile de débusquer dans la foret de numéro, la perle rare qui correspond à la bonne personne.
Je ne parle même pas des personnes etrangeres, qui noterait peut etre différement.
Et bien l'idée somme toute simpliste des ambulanciers est de créer une convention de nommage de la personne à contacter d'urgence.
ICE (In Case of Emergency)
Chacun rentre dans son repertoire à ce nom, le numéro de la personne à prevenir en cas d'urgence. Vous pouvez même selon la convention en prévoir plusieurs, il suffit de rajouter un chiffre apres le code (ICE1, ICE2 etc...)
Je trouve l'idée excellente, gratuite, et qui peut s'avérer tres utile en cas d'accident. Rapide à mettre en place, elle permet aussi de faire gagner du temps à tout le monde et d'optimiser le temps des ambulanciers.
Pour ma part, je vais de ce pas ajouter ce contact a mon repertoire. Et vous?
En effet, lorsqu'il arrive un accident de la route, une des questions importantes que les ambulanciers se posent est "qui contacter?"
Or avec l'essor des téléphones portables, chacun se promene avec le sien dans la poche, et donc souvent la personne ayant un accident possede ce téléphone.
Pratique pourrait on penser aux premiers abords. Il suffit de regarder le téléphone, dans le repertoire, et vous trouvez souvent une personne à appeler de la famille ou des proches. Oui ok, mais soyons franc, il est plus que difficile de débusquer dans la foret de numéro, la perle rare qui correspond à la bonne personne.
Je ne parle même pas des personnes etrangeres, qui noterait peut etre différement.
Et bien l'idée somme toute simpliste des ambulanciers est de créer une convention de nommage de la personne à contacter d'urgence.
ICE (In Case of Emergency)
Chacun rentre dans son repertoire à ce nom, le numéro de la personne à prevenir en cas d'urgence. Vous pouvez même selon la convention en prévoir plusieurs, il suffit de rajouter un chiffre apres le code (ICE1, ICE2 etc...)
Je trouve l'idée excellente, gratuite, et qui peut s'avérer tres utile en cas d'accident. Rapide à mettre en place, elle permet aussi de faire gagner du temps à tout le monde et d'optimiser le temps des ambulanciers.
Pour ma part, je vais de ce pas ajouter ce contact a mon repertoire. Et vous?
mardi, avril 17, 2007
Carnage
Toutes la blogoshpere est en émoi, je ne dois pas faire exception :)
Hier 32 jeunes ont été tués par un autre jeune qui a finit par se suicider (ou alors les policiers l'ont un tout petit peu aidés).
Le mec il se pointe avec des armes, jusque la c'est normal, rien de bien méchants au Etats Unis, ensuite il flingue un couple de jeune dans leur chambre.
Tranquille le mec il se prend un petit café a la cafet avec ses potes, tout en rechargeant les guns, et au bout de deux heures, il va dans 4 salles de classe, descendre encore une trentaine de condisciples.
Une journée ordinaire dans une université americaine...
En France, tous les journaux ouvrent la dessus, en critiquant ouvertement le deuxieme amendement de la Constitution américaine, donnant comme droit inalienable à tout américain de s'armer pour défendre (en théorie) son pays.
Car c'etait l'esprit de l'article quand il a été écrit il y a 200 ans. Bon maintenant c'est vrai que flinguer 30 personnes dans une université, c'est pas forcément ce qu'on peut entendre aux premiers abords par "défendre son pays".
Ok mais a mon avis plutot que de se poser le probleme de la possession, de l'achat et de l'utilisation des armes, il faudrait peut etre se demander quand même, ce qui peut pousser un gus à faire un carnage comme ca.
Je veux dire, interdire les armes, oui c'est certain, ca va permettre de moins les diffuser, mais ca enlevera pas le problème de fond.
Je ne pense pas qu'il faille accuser l'arme sans réflechir à la volonté qu'il y a d'appuyer sur la détente.
Evidemment, les armes aux Etats Unis, c'est le probleme numéro 1 dans les médias français, ca ressort comme par magie à chaque fusillade, en laissant penser que TOUS les américains sont des fous furieux voulant tuer leur voisin, et qui se promenent tous avec un flingue dans le futal.
Ca me parait un peu simpliste non?
Peut etre pas après tout, et en interidant les cutters dans les avions, on arrete tout le térrorisme...
Ca se défend...
Hier 32 jeunes ont été tués par un autre jeune qui a finit par se suicider (ou alors les policiers l'ont un tout petit peu aidés).
Le mec il se pointe avec des armes, jusque la c'est normal, rien de bien méchants au Etats Unis, ensuite il flingue un couple de jeune dans leur chambre.
Tranquille le mec il se prend un petit café a la cafet avec ses potes, tout en rechargeant les guns, et au bout de deux heures, il va dans 4 salles de classe, descendre encore une trentaine de condisciples.
Une journée ordinaire dans une université americaine...
En France, tous les journaux ouvrent la dessus, en critiquant ouvertement le deuxieme amendement de la Constitution américaine, donnant comme droit inalienable à tout américain de s'armer pour défendre (en théorie) son pays.
Car c'etait l'esprit de l'article quand il a été écrit il y a 200 ans. Bon maintenant c'est vrai que flinguer 30 personnes dans une université, c'est pas forcément ce qu'on peut entendre aux premiers abords par "défendre son pays".
Ok mais a mon avis plutot que de se poser le probleme de la possession, de l'achat et de l'utilisation des armes, il faudrait peut etre se demander quand même, ce qui peut pousser un gus à faire un carnage comme ca.
Je veux dire, interdire les armes, oui c'est certain, ca va permettre de moins les diffuser, mais ca enlevera pas le problème de fond.
Je ne pense pas qu'il faille accuser l'arme sans réflechir à la volonté qu'il y a d'appuyer sur la détente.
Evidemment, les armes aux Etats Unis, c'est le probleme numéro 1 dans les médias français, ca ressort comme par magie à chaque fusillade, en laissant penser que TOUS les américains sont des fous furieux voulant tuer leur voisin, et qui se promenent tous avec un flingue dans le futal.
Ca me parait un peu simpliste non?
Peut etre pas après tout, et en interidant les cutters dans les avions, on arrete tout le térrorisme...
Ca se défend...
lundi, avril 16, 2007
Les resultats a 18h
C'est la polémique du jour sur le Net.
Pour ou contre les résultats des présidentielles à 18h sur le Net au lieu de 20h comme partout ?
Légalement, personne ne doit communiquer d'informations avant 20h. Tout simplement parce que dans les grandes villes, les bureaux de vote sont ouverts jusqu'a 20h. Donc il ne faut pas pouvoir influencer des electeurs qui peuvent encore changer leur vote.
Exemple concret :
A 18h, sur ce blog j'informe la population cybermondiale, que selon des indiscretions de journalistes que je connais bien :) , ce serait Gerard Schivardi qui est en tete de l'election avec 45% des voix dès le premier tour.
Le choc serait grand, et comme vous me croyez sur parole, et que vous etes des adorateurs de Philippe de Villiers mais que vous etiez trop occupé à aller voter, vous vous decidez devant l'infamie qui se prépare à aller voter.
Mon acte a donc une incidence sur le résultat final.
Bon soit, c'est un peu capillotracté, mais cela pourrait surtout créer un précédent. Imaginons que les résultats soient connus à 18h cette année sur Internet. Ok c'est pas grave, pas grand monde va faire attention, et de toute façon les blogs qui vont relayer l'info seront soit peu nombreux, soit comme le mien, absolument pas crédible.
Oui mais voila, à la prochaine éléction, pourquoi moi electeur d'une grande ville, je ne vais pas faire expres d'attendre le resultat pseudo officiel pour me décider à aller voter.
Si on fait de la science fiction, on peut même imaginer, un groupe de gens desireux de montrer leur mécontentement, s'organiser pour attendre 18h et les résultats afin de voter non pas en fonction de leur conviction, mais en fonction du vote des autres.
Qui a dit que c'etait deja le cas avec les sondages? Ne soyons pas mesquin voyons.
Pourtant moi, l'idée des résultats a 18h me plait pas mal. En effet, il ne faut pas non plus etre hypocrite, une frange de la population "bien informée" connait les réslutats avant l'heure, et il est drole de voir les journalistes, sachant les résultats, debattre pendant 2h des taux d'absentation, tout en essayant de cacher leur mine deconfite par la présence de plus en plus confirmée de Le Pen au deuxieme tour.
Alors les résultats à 18h, c'est un bon débat, parce qu'entre clareté absolue et sincérité démocratique, il faut savoir quelle est la priorité des français :)
Pour ou contre les résultats des présidentielles à 18h sur le Net au lieu de 20h comme partout ?
Légalement, personne ne doit communiquer d'informations avant 20h. Tout simplement parce que dans les grandes villes, les bureaux de vote sont ouverts jusqu'a 20h. Donc il ne faut pas pouvoir influencer des electeurs qui peuvent encore changer leur vote.
Exemple concret :
A 18h, sur ce blog j'informe la population cybermondiale, que selon des indiscretions de journalistes que je connais bien :) , ce serait Gerard Schivardi qui est en tete de l'election avec 45% des voix dès le premier tour.
Le choc serait grand, et comme vous me croyez sur parole, et que vous etes des adorateurs de Philippe de Villiers mais que vous etiez trop occupé à aller voter, vous vous decidez devant l'infamie qui se prépare à aller voter.
Mon acte a donc une incidence sur le résultat final.
Bon soit, c'est un peu capillotracté, mais cela pourrait surtout créer un précédent. Imaginons que les résultats soient connus à 18h cette année sur Internet. Ok c'est pas grave, pas grand monde va faire attention, et de toute façon les blogs qui vont relayer l'info seront soit peu nombreux, soit comme le mien, absolument pas crédible.
Oui mais voila, à la prochaine éléction, pourquoi moi electeur d'une grande ville, je ne vais pas faire expres d'attendre le resultat pseudo officiel pour me décider à aller voter.
Si on fait de la science fiction, on peut même imaginer, un groupe de gens desireux de montrer leur mécontentement, s'organiser pour attendre 18h et les résultats afin de voter non pas en fonction de leur conviction, mais en fonction du vote des autres.
Qui a dit que c'etait deja le cas avec les sondages? Ne soyons pas mesquin voyons.
Pourtant moi, l'idée des résultats a 18h me plait pas mal. En effet, il ne faut pas non plus etre hypocrite, une frange de la population "bien informée" connait les réslutats avant l'heure, et il est drole de voir les journalistes, sachant les résultats, debattre pendant 2h des taux d'absentation, tout en essayant de cacher leur mine deconfite par la présence de plus en plus confirmée de Le Pen au deuxieme tour.
Alors les résultats à 18h, c'est un bon débat, parce qu'entre clareté absolue et sincérité démocratique, il faut savoir quelle est la priorité des français :)
dimanche, avril 15, 2007
Da Vinci Code
Un des films phare de l'année 2006, extremement attendu, car tiré d'un des plus gros best sellers de tous les temps, le livre eponyme de Dan Brown.
De plus, une distribution préstigieuse, un réalisateur habitué aux gros budgets, et une autorisation exceptionnelle de filmer dans le Louvre. Ce film est un film vraiment attendu au tournant.
J'avais lu le livre avant, et j'avoue ne pas avoir apprécié plus que cela l'oeuvre de Dan Brown. Je reconnais aisément que la partie suspens est bien mené, que l'intrigue est intéressante, mais sur la fond, sur la polémique religieuse, et sur certains points qu'il a fait passer pour vrai alors qu'ils etaient romancés, j'ai trouvé le livre un light.
Le film souffre plus ou moins des mêmes maux. Les acteurs sont pas trop mauvais, même si ils sont tous lisses, rien d'exceptionnel en fait à dire sur eux, si ce n'est que Jean Reno n'est pas au mieux sa forme dans ce role assez moyen.
Pour le reste, un film a gros budget, qui mets les moyens, la ou c'est nécéssaire, et c'est le coté mystique du livre qui en prend pour son grade.
Il en reste un film somme toute regardable, même si je le trouve long. D'ailleurs c'est un paradoxe, puisque certaines scènes m'ont semblées interminables, alors que d'autres moments que j'avais trouvés importants dans le livre, sont traités avec légéreté, et rapidité.
Un film dont on peut se passer, mais dont souvent on me parle, alors je l'ai regardé. Peut etre qu'il a été fait trop rapidement, dans la foulée du succès du livre. Il aurait mieux fait d'attendre un peu, d'essayer d'organiser mieux le film afin de créer une réelle densité autour de l'histoire, mais bon le livre était deja partie sur ce fonctionnement de succès facile, le film a suivit.
Une note de 11/20 pour les millions de dollars engrangés, et je pense que c'est à peu pres tout ce qui est positif dans ce film...
De plus, une distribution préstigieuse, un réalisateur habitué aux gros budgets, et une autorisation exceptionnelle de filmer dans le Louvre. Ce film est un film vraiment attendu au tournant.
J'avais lu le livre avant, et j'avoue ne pas avoir apprécié plus que cela l'oeuvre de Dan Brown. Je reconnais aisément que la partie suspens est bien mené, que l'intrigue est intéressante, mais sur la fond, sur la polémique religieuse, et sur certains points qu'il a fait passer pour vrai alors qu'ils etaient romancés, j'ai trouvé le livre un light.
Le film souffre plus ou moins des mêmes maux. Les acteurs sont pas trop mauvais, même si ils sont tous lisses, rien d'exceptionnel en fait à dire sur eux, si ce n'est que Jean Reno n'est pas au mieux sa forme dans ce role assez moyen.
Pour le reste, un film a gros budget, qui mets les moyens, la ou c'est nécéssaire, et c'est le coté mystique du livre qui en prend pour son grade.
Il en reste un film somme toute regardable, même si je le trouve long. D'ailleurs c'est un paradoxe, puisque certaines scènes m'ont semblées interminables, alors que d'autres moments que j'avais trouvés importants dans le livre, sont traités avec légéreté, et rapidité.
Un film dont on peut se passer, mais dont souvent on me parle, alors je l'ai regardé. Peut etre qu'il a été fait trop rapidement, dans la foulée du succès du livre. Il aurait mieux fait d'attendre un peu, d'essayer d'organiser mieux le film afin de créer une réelle densité autour de l'histoire, mais bon le livre était deja partie sur ce fonctionnement de succès facile, le film a suivit.
Une note de 11/20 pour les millions de dollars engrangés, et je pense que c'est à peu pres tout ce qui est positif dans ce film...
samedi, avril 14, 2007
Enfermé dehors
Encore un Dupontel au programme.
Etrange de retrouver Dupontel à la réalisation et devant la caméra dans la peau d'un SDF après l'avoir vu en président.
Décidement cet acteur est tres surprenant, et toujours aussi talentueux.
A sa sortie, le film a un peu fait parler de lui, un petit buzz normal, rien de transcendant en fait, et je crois qu'au box office, il n'a pas cartonné.
Dommage!! ce film est à voir absolument. D'abord pour le scénario et la réalisation, completement dejantés, le film est foutrement jubilatoire, et arrive a captivé le spectateur (en tout cas moi).
Un humour que j'apprécie, une folie maitrisée avec en plus le plaisir de voir quelques "guest" dans le film, il n'y a rien à redire, le film fait passer un très bon moment.
Il est pourtant difficile pour moi de ressentir une émotion intense devant une comédie. Hormis les quelques films que j'adore des "ZAZ" ou évidemment, les incontournables Monthy Python, il n'y a pas beaucoup de comedie, qui me font employés des superlatifs.
Ce film fait donc partie de la catégorie des films tres plaisants, qui font passés un bon moment, sans pour autant transcender le gentil spectateur que je suis. Pourtant il n'en faut pas beaucoup pour que le film soit terrible. C'est pour cela qu'il mérite un bon 12/20, ce qui est une note excellente pour une comédie.
PS : il faudrait que je me regarde une nouvelle fois "le sacré Graal" pour pouvoir juger correctement. Mais bon je pars avec un apriori plus que positif de part mes souvenirs excellents...
NIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Etrange de retrouver Dupontel à la réalisation et devant la caméra dans la peau d'un SDF après l'avoir vu en président.
Décidement cet acteur est tres surprenant, et toujours aussi talentueux.
A sa sortie, le film a un peu fait parler de lui, un petit buzz normal, rien de transcendant en fait, et je crois qu'au box office, il n'a pas cartonné.
Dommage!! ce film est à voir absolument. D'abord pour le scénario et la réalisation, completement dejantés, le film est foutrement jubilatoire, et arrive a captivé le spectateur (en tout cas moi).
Un humour que j'apprécie, une folie maitrisée avec en plus le plaisir de voir quelques "guest" dans le film, il n'y a rien à redire, le film fait passer un très bon moment.
Il est pourtant difficile pour moi de ressentir une émotion intense devant une comédie. Hormis les quelques films que j'adore des "ZAZ" ou évidemment, les incontournables Monthy Python, il n'y a pas beaucoup de comedie, qui me font employés des superlatifs.
Ce film fait donc partie de la catégorie des films tres plaisants, qui font passés un bon moment, sans pour autant transcender le gentil spectateur que je suis. Pourtant il n'en faut pas beaucoup pour que le film soit terrible. C'est pour cela qu'il mérite un bon 12/20, ce qui est une note excellente pour une comédie.
PS : il faudrait que je me regarde une nouvelle fois "le sacré Graal" pour pouvoir juger correctement. Mais bon je pars avec un apriori plus que positif de part mes souvenirs excellents...
NIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
vendredi, avril 13, 2007
Vendredi 13
Non pas le film, ce n'est pas trop ma tasse de thé, mais plutot le jour que nous sommes aujourd hui.
Les fanatiques du loto, se sont rués sur les tickets pour éspérer profiter de ce jour soit disant beni des dieux, pour gagner la fortune.
Moi pourtant depuis que je m'en souvienne, le vendredi 13 a toujours été associé à la malchance, et non pas à la bonne fortune que certains pensent trouver dans les jeux de hasard.
D'ou vient cette malédiction du vendredi 13 ?
Certains disent que la raison est religieuse, et viendrait de l'association d'un fait et d'une date. Le fait, c'est le dernier repas de Jesus, ou avec ses 12 apotres, il y avait 13 convives à table. La date, ce n'est pas celle de ce jour, car c'etait un Jeudi, mais le lendemain, le jour de la mort de Jésus. Donc le vendredi, jour maudit, additionné au 13 de la table, nous donnerait la date fatidique.
Ok, mais y a une autre version que j'ai entendu cette après midi. La malédiction supposée du vendredi 13 viendrait du vendredi 13 octobre 1307. (oui ca remonte).
A cette époque, Philippe Le Bel, roi de France, décide (pas par hasard, mais par opportunisme "politique") de frapper un grand coup. En effet ce jour la, il reussit a faire arréter tous les croisés, qui prenaient une importance de plus en plus importante, et dont il se méfiait. Ca fait du monde, et une opération comme celle la, eu à l'époque un très gros écho. Evidemment, comme le gars c'etait pas un comique, il a fait torturer les croisés, puis évidemment massacrer.
La population fut terrifiée par cet acte sans précédent, et aurait donc garder sur plusieurs génération la marque indélibile de la malédiction du vendredi 13.
Peut etre qu'un jour, le 11 septembre, deviendra une date aussi importante. Dans 700 ans, les générations futurs iront tenter leur chance en défiant cette date terrifiante, dont aucun ne se rappelera la signification.
Ce serait fun...
Les fanatiques du loto, se sont rués sur les tickets pour éspérer profiter de ce jour soit disant beni des dieux, pour gagner la fortune.
Moi pourtant depuis que je m'en souvienne, le vendredi 13 a toujours été associé à la malchance, et non pas à la bonne fortune que certains pensent trouver dans les jeux de hasard.
D'ou vient cette malédiction du vendredi 13 ?
Certains disent que la raison est religieuse, et viendrait de l'association d'un fait et d'une date. Le fait, c'est le dernier repas de Jesus, ou avec ses 12 apotres, il y avait 13 convives à table. La date, ce n'est pas celle de ce jour, car c'etait un Jeudi, mais le lendemain, le jour de la mort de Jésus. Donc le vendredi, jour maudit, additionné au 13 de la table, nous donnerait la date fatidique.
Ok, mais y a une autre version que j'ai entendu cette après midi. La malédiction supposée du vendredi 13 viendrait du vendredi 13 octobre 1307. (oui ca remonte).
A cette époque, Philippe Le Bel, roi de France, décide (pas par hasard, mais par opportunisme "politique") de frapper un grand coup. En effet ce jour la, il reussit a faire arréter tous les croisés, qui prenaient une importance de plus en plus importante, et dont il se méfiait. Ca fait du monde, et une opération comme celle la, eu à l'époque un très gros écho. Evidemment, comme le gars c'etait pas un comique, il a fait torturer les croisés, puis évidemment massacrer.
La population fut terrifiée par cet acte sans précédent, et aurait donc garder sur plusieurs génération la marque indélibile de la malédiction du vendredi 13.
Peut etre qu'un jour, le 11 septembre, deviendra une date aussi importante. Dans 700 ans, les générations futurs iront tenter leur chance en défiant cette date terrifiante, dont aucun ne se rappelera la signification.
Ce serait fun...
jeudi, avril 12, 2007
Essaye moi
Encore un petit film français sans prétention qui est passé devant mes yeux il n'y a pas longtemps.
L'originalité de celui ci, c'est surement la présence derriere la caméra de l'ancien "Robin Des Bois" Pierre François Martin Laval.
Ainsi que devant la caméra, le devenu trop rare, Pierre Richard.
Hormis ca quoi dire ?
Un film prévisible du début à la fin, aucun rebondissement, même si ce n'est pas ce que l'on peut attendre d'un film, il n'en reste pas moins qu'un film qui ne surprend pas (si ce n'est par son scénario au moins par son émotion) est un film qui ne m'interesse pas beaucoup.
Peu d'emotion donc, des rires convenus, tres peu d'originalité nul part, étrange d'ailleurs de la part de ce comique qui a su inventer des personnages, et donner une certaine densité à ses sketchs passés.
Etant son premier film, on peut admettre la peur de prendre un risque quelconque, et donc de tomber rapidement dans un film moyen par tous les aspects, qui ne laisse aucune trace marquante, si ce n'est l'interpretation géniale d'un pingouin tres bien trouvé.
Oui j'ai essayé "Essaye moi" et ce n'est pas tres concluant. Un modeste 09/20, motivé par ma volonté de ne pas faire sombrer Pef dans mon oubli cinématographique, en souvenir des rires rendus il y a dèjà quelques temps.
Ca fait longtemps que je n'ai pas vu un film qui me plait, peut etre le prochain, j'espere toujours...
L'originalité de celui ci, c'est surement la présence derriere la caméra de l'ancien "Robin Des Bois" Pierre François Martin Laval.
Ainsi que devant la caméra, le devenu trop rare, Pierre Richard.
Hormis ca quoi dire ?
Un film prévisible du début à la fin, aucun rebondissement, même si ce n'est pas ce que l'on peut attendre d'un film, il n'en reste pas moins qu'un film qui ne surprend pas (si ce n'est par son scénario au moins par son émotion) est un film qui ne m'interesse pas beaucoup.
Peu d'emotion donc, des rires convenus, tres peu d'originalité nul part, étrange d'ailleurs de la part de ce comique qui a su inventer des personnages, et donner une certaine densité à ses sketchs passés.
Etant son premier film, on peut admettre la peur de prendre un risque quelconque, et donc de tomber rapidement dans un film moyen par tous les aspects, qui ne laisse aucune trace marquante, si ce n'est l'interpretation géniale d'un pingouin tres bien trouvé.
Oui j'ai essayé "Essaye moi" et ce n'est pas tres concluant. Un modeste 09/20, motivé par ma volonté de ne pas faire sombrer Pef dans mon oubli cinématographique, en souvenir des rires rendus il y a dèjà quelques temps.
Ca fait longtemps que je n'ai pas vu un film qui me plait, peut etre le prochain, j'espere toujours...
mercredi, avril 11, 2007
J'ai fais un reve
Loin de moi l'idée d'imaginer des enfants blancs et noirs ensemble. Pas que ca me deplairait mais je n'ai pas le talent de faire ce genre de reve.
Non non moi j'ai vraiment fait un reve la nuit derniere. Et le pire c'est que je m'en souviens. Enfin en partie Interessant non? Parce qu'en plus je viens le raconter.
C'est beau la vie.
Alors en fait dans ce reve, dont évidemment je ne me souviens que de la partie intéressante. Dans ce reve je revais que je mourrais.
Freud si tu passes par la, tu peux me dire ce que ca signifie (peut etre que je vais mourir, ce qui sans doute ne me surprendrait pas, même si j'espere ce sera dans quelques temps quand même)
Le plus surprenant dans ce reve, ce n'est pas la mort en soit, parce que j'ai deja rever que je mourrais plus ou moins souvent, mais plutot la prémonition, et le sentiment que oui ca y est je vais mourir.
Parce que la mort, souvent, elle vient sans prevenir dans la vie, on ne sait pas qu'on va mourir, avant de mourir, on a pas forcément le temps de conscientiser le moment pour essayer d'analyser que l'instant que l'on vit est le dernier. Or dans ce reve, plus que la mort elle même, très violente et tres douloureuse dans ce cas précis, c'est l'instant avant cette mort qui m'a surpris.
Drole de sensation. Je vais mourir, la bientot dans quelques secondes, tout est finit. Dans mon imaginaire, et dans celui de beaucoup, on pense romantiquement, que l'on revoit défiler sa vie, en quelques secondes. Ben moi pas du tout...
En fait non, de ce que je me souvienne, j'avais peur. Peur de souffrir d'abord, parce que la mort pour moi ca reste la souffrance physique qui dure peut etre un dixieme de seconde, ou plusieurs minutes. Peur aussi que tout s'arrete la, maintenant comme ca. Un sentiment de bétise peut etre, comme si c'etait stupide que ca s'arrete la. Pas une rapide retrospective du passé, mais plutot l'impression d'un gachi, comme si l'absence de futur me derangait. Etrange puisque je vais mourir.
Bon finalement, je me suis reveillé, vivant, avec un drole de gout dans la bouche, celui de l'hésitation durant quelques millième de seconde. Je suis mort? Je suis vivant ? Non non ca va, je vais bien, ou presque, parce que pour faire ce genre de reves faut quand même etre bien barré. En plus j'épargne les détails sur l'atrocité de ma mort, que je pense, je ne souhaite pas à grande monde...
Bon il faut que j'ajoute à la liste de mes films, la science des reves, de Michel Gondry, peut etre que ca m'aidera a décripter un peu mon moi intérieur :)
Non non moi j'ai vraiment fait un reve la nuit derniere. Et le pire c'est que je m'en souviens. Enfin en partie Interessant non? Parce qu'en plus je viens le raconter.
C'est beau la vie.
Alors en fait dans ce reve, dont évidemment je ne me souviens que de la partie intéressante. Dans ce reve je revais que je mourrais.
Freud si tu passes par la, tu peux me dire ce que ca signifie (peut etre que je vais mourir, ce qui sans doute ne me surprendrait pas, même si j'espere ce sera dans quelques temps quand même)
Le plus surprenant dans ce reve, ce n'est pas la mort en soit, parce que j'ai deja rever que je mourrais plus ou moins souvent, mais plutot la prémonition, et le sentiment que oui ca y est je vais mourir.
Parce que la mort, souvent, elle vient sans prevenir dans la vie, on ne sait pas qu'on va mourir, avant de mourir, on a pas forcément le temps de conscientiser le moment pour essayer d'analyser que l'instant que l'on vit est le dernier. Or dans ce reve, plus que la mort elle même, très violente et tres douloureuse dans ce cas précis, c'est l'instant avant cette mort qui m'a surpris.
Drole de sensation. Je vais mourir, la bientot dans quelques secondes, tout est finit. Dans mon imaginaire, et dans celui de beaucoup, on pense romantiquement, que l'on revoit défiler sa vie, en quelques secondes. Ben moi pas du tout...
En fait non, de ce que je me souvienne, j'avais peur. Peur de souffrir d'abord, parce que la mort pour moi ca reste la souffrance physique qui dure peut etre un dixieme de seconde, ou plusieurs minutes. Peur aussi que tout s'arrete la, maintenant comme ca. Un sentiment de bétise peut etre, comme si c'etait stupide que ca s'arrete la. Pas une rapide retrospective du passé, mais plutot l'impression d'un gachi, comme si l'absence de futur me derangait. Etrange puisque je vais mourir.
Bon finalement, je me suis reveillé, vivant, avec un drole de gout dans la bouche, celui de l'hésitation durant quelques millième de seconde. Je suis mort? Je suis vivant ? Non non ca va, je vais bien, ou presque, parce que pour faire ce genre de reves faut quand même etre bien barré. En plus j'épargne les détails sur l'atrocité de ma mort, que je pense, je ne souhaite pas à grande monde...
Bon il faut que j'ajoute à la liste de mes films, la science des reves, de Michel Gondry, peut etre que ca m'aidera a décripter un peu mon moi intérieur :)
mardi, avril 10, 2007
News du jour
Je lisais une info sympathique ce matin.
Dans le métro de Washington, les passants préssés sont habitués de voir des artistes des rues se produirent pour gagner quelques sous.
A Paris aussi il existe ce genre de choses, et en fait je pense, partout ou il existe un métro. Mais soit, un journal de la ville (Washington Post je crois à vérifier) à tenter une expérience amusante.
En effet il a proposé à un violoniste très celebre (Joshua Bell, oui ben il faut connaitre les violonistes pour le connaitre) de jouer à la sortie du métro, comme bon nombre de violonistes inconnus.
L'artiste, plus habitué a remplir les salles de spéctacles, qu'a devenir le temps de cette aventure, un illustre inconnu, a gagné durant son "concert" quelques 32 dollars.
Outre la performance amusante et probablement le coup de pub qui va avec, il est intéressant peut etre de reflechir à la place de la culture, de la musique, de l'art dans notre société. Et de sa diffusion.
Une initiative que je trouve en tout cas géniale, et originale, qui à le mérite de faire parler et de faire réflechir...
(via l'excellente Corine)
Dans le métro de Washington, les passants préssés sont habitués de voir des artistes des rues se produirent pour gagner quelques sous.
A Paris aussi il existe ce genre de choses, et en fait je pense, partout ou il existe un métro. Mais soit, un journal de la ville (Washington Post je crois à vérifier) à tenter une expérience amusante.
En effet il a proposé à un violoniste très celebre (Joshua Bell, oui ben il faut connaitre les violonistes pour le connaitre) de jouer à la sortie du métro, comme bon nombre de violonistes inconnus.
L'artiste, plus habitué a remplir les salles de spéctacles, qu'a devenir le temps de cette aventure, un illustre inconnu, a gagné durant son "concert" quelques 32 dollars.
Outre la performance amusante et probablement le coup de pub qui va avec, il est intéressant peut etre de reflechir à la place de la culture, de la musique, de l'art dans notre société. Et de sa diffusion.
Une initiative que je trouve en tout cas géniale, et originale, qui à le mérite de faire parler et de faire réflechir...
(via l'excellente Corine)
lundi, avril 09, 2007
Indigenes
Film qui a eu un grand écho médiatique, une grosse présence dans les salles, et qui à également eu une résonnance politique puisqu'il a débouché sur le recouvrement des droits des combattants africains.
Un gros passé donc pour ce film, et évidemment je ne pouvais en attendre que beaucoup. D'abord j'aurais tendance a penser que c'est facile de véhiculer de l'emotion avec un sujet comme celui la. Même si la présentation est soignée, on retrouve dans le film un paquet de stéréotype du genre, qui agrémentent le film tout en le maintenant dans une logique d'opposition qui peut sembler simpliste.
Il n'en reste pas moins que le film est engagé, qu'il est joué avec brio par les acteurs, qui sont tous talentueux, et qui representent bien l'esprit du film.
A la fin on ne peut qu'adhérer à la revendication de ces combattants qui ont été en premiere ligne et qui n'ont rien reçu de la France en retour.
Donc oui un bon film, tres agréable, très actuel aussi, et bien que, la logique partisane du film (juste ou non) soit un peu enervante, il est évident que le film fait bouger les consciences, et permet d'évoluer faire la reconnaissance.
Personnellement, j'ai aimé regarder Indigenes, il merite un bon 12/20, même si il frise peut etre davantage le documentaire que le film a proprement parlé.
Un gros passé donc pour ce film, et évidemment je ne pouvais en attendre que beaucoup. D'abord j'aurais tendance a penser que c'est facile de véhiculer de l'emotion avec un sujet comme celui la. Même si la présentation est soignée, on retrouve dans le film un paquet de stéréotype du genre, qui agrémentent le film tout en le maintenant dans une logique d'opposition qui peut sembler simpliste.
Il n'en reste pas moins que le film est engagé, qu'il est joué avec brio par les acteurs, qui sont tous talentueux, et qui representent bien l'esprit du film.
A la fin on ne peut qu'adhérer à la revendication de ces combattants qui ont été en premiere ligne et qui n'ont rien reçu de la France en retour.
Donc oui un bon film, tres agréable, très actuel aussi, et bien que, la logique partisane du film (juste ou non) soit un peu enervante, il est évident que le film fait bouger les consciences, et permet d'évoluer faire la reconnaissance.
Personnellement, j'ai aimé regarder Indigenes, il merite un bon 12/20, même si il frise peut etre davantage le documentaire que le film a proprement parlé.
dimanche, avril 08, 2007
Urbi et Orbi
A la ville et au monde !!!
Plus beaucoup de films dans mon quotidien, les occasions se font rares, et les quelques possibilités qui s'offrent à moi, ne me ragoutent pas beaucoup, ce qui fait que je ne cede pas à la facilité de regarder un film pour regarder un film.
On m'a parlé de 300. Un film sur les spartiates, et Leonidas leur leader. Je ne sais pas trop quoi en penser, n'ayant pas du tout aimer les derniers films de ce genre (Troie, Alexandre, Gladiator (à la limite)).
D'un coté je me dis que c'est difficile de faire un bon film, ne pas partir dans les travers faciles permettant de réduire le film à sa seule expression de violence en occultant la partie psychologique, politique ou humaine de la problématique guérrière.
Du coup le film rejoindra la cohorte des films que je dois voir un jour, et que je verrais probablement par accident, mais qui ne me laissent que rarement une bonne impression.
En attendant donc, je passe plus de temps à lire, à écrire, et à réflechir. C'est pas forcément mieux, pas forcément plus positif, mais c'est agréable de sentir exister en agissant ses meninges.
Essayer d'avancer sur des reflexions, des objectifs, des reves a réaliser. Mieux vaut faire en se trompant que de ne pas faire du tout. Tel serait plus ou moins mon leitmotiv actuel. Essayer pour ne pas avoir de regrets, ne pas se retourner et se dire que ca aurait du être différent, essayer pour éspérer aussi, toujours plus, avec toujours plus de force...
Esperer à Paques, c'est pas une mauvaise philosophie au fond :)
Plus beaucoup de films dans mon quotidien, les occasions se font rares, et les quelques possibilités qui s'offrent à moi, ne me ragoutent pas beaucoup, ce qui fait que je ne cede pas à la facilité de regarder un film pour regarder un film.
On m'a parlé de 300. Un film sur les spartiates, et Leonidas leur leader. Je ne sais pas trop quoi en penser, n'ayant pas du tout aimer les derniers films de ce genre (Troie, Alexandre, Gladiator (à la limite)).
D'un coté je me dis que c'est difficile de faire un bon film, ne pas partir dans les travers faciles permettant de réduire le film à sa seule expression de violence en occultant la partie psychologique, politique ou humaine de la problématique guérrière.
Du coup le film rejoindra la cohorte des films que je dois voir un jour, et que je verrais probablement par accident, mais qui ne me laissent que rarement une bonne impression.
En attendant donc, je passe plus de temps à lire, à écrire, et à réflechir. C'est pas forcément mieux, pas forcément plus positif, mais c'est agréable de sentir exister en agissant ses meninges.
Essayer d'avancer sur des reflexions, des objectifs, des reves a réaliser. Mieux vaut faire en se trompant que de ne pas faire du tout. Tel serait plus ou moins mon leitmotiv actuel. Essayer pour ne pas avoir de regrets, ne pas se retourner et se dire que ca aurait du être différent, essayer pour éspérer aussi, toujours plus, avec toujours plus de force...
Esperer à Paques, c'est pas une mauvaise philosophie au fond :)
samedi, avril 07, 2007
Manipulations
Comment savoir que ce que l'on pense sur un sujet quelconque est la bonne façon de penser ?
Ca sent la question prise de tete à 200 metres, mais en fait non. Ca part d'une reflexion interessante que je me faisais sur un fait d'actualité, de son traitement, et de l'interpretation de celui ci par différentes personnes.
Le traitement de l'actualité est souvent orienté. Il regarde a travers un certain prisme l'information, en la déformant en fonction de critères moraux. Exemple : un meurtre c'est Mal, parce que moralement le meurtre est considéré comme reprehensible.
Donc le fait est orienté, mais ensuite il y a toute une construction intellectuelle journalistique autour du fait de savoir par exemple : a qui profite le crime ?
Ou est la frontiere entre investigation, supputation, interpretation, et partie pris? C'est pas évident à saisir, surtout lorsqu'il s'agit de tradition. Historiquement la France a des valeurs et des opinions qu elles défend avec plus ou moins d'ardeur, mais avec le temps elles sont probablement rentrées dans le mécanisme de reflexion de ceux qui pratique la presse.
Du coup notre interpretation, qui nous semble plus ou moins en adéquation avec nos valeurs est peut etre completement erronée par rapport à la réalité. Ou à son interpretation.
Car évidemment, il existe autant de vérités que de personne sur cette terre, mais en ramenant ca à une reflexion plus condensée, on retrouve tout de même une différence de traitement, d'interpretation et d'avis assez important.
Sur la politique cela semble évident. En fonction de sa sensibilité idéologique, les faits sont interprétés différement. Mais il est assez drole de voir comment les autres nous voit, puisque nous les regardons nous même avec un regard deformé.
Dans ce fourre tout de reflexions, il faut pourtant prendre ce qui nous semble le meilleur, ou ce qui semble correspondre le mieux avec notre sensibilité. Une fois en accord avec soi même, il est plus aisé de s'ouvrir aux autres et d'essayer de les comprendre.
Ne pas être manipuler, lutter contre la facilité, garder son libre arbitre intellectuel, c'est probablement plus facile à dire qu'a faire, mais c'est une nécéssité vitale pour chacun de nous.
Ca sent la question prise de tete à 200 metres, mais en fait non. Ca part d'une reflexion interessante que je me faisais sur un fait d'actualité, de son traitement, et de l'interpretation de celui ci par différentes personnes.
Le traitement de l'actualité est souvent orienté. Il regarde a travers un certain prisme l'information, en la déformant en fonction de critères moraux. Exemple : un meurtre c'est Mal, parce que moralement le meurtre est considéré comme reprehensible.
Donc le fait est orienté, mais ensuite il y a toute une construction intellectuelle journalistique autour du fait de savoir par exemple : a qui profite le crime ?
Ou est la frontiere entre investigation, supputation, interpretation, et partie pris? C'est pas évident à saisir, surtout lorsqu'il s'agit de tradition. Historiquement la France a des valeurs et des opinions qu elles défend avec plus ou moins d'ardeur, mais avec le temps elles sont probablement rentrées dans le mécanisme de reflexion de ceux qui pratique la presse.
Du coup notre interpretation, qui nous semble plus ou moins en adéquation avec nos valeurs est peut etre completement erronée par rapport à la réalité. Ou à son interpretation.
Car évidemment, il existe autant de vérités que de personne sur cette terre, mais en ramenant ca à une reflexion plus condensée, on retrouve tout de même une différence de traitement, d'interpretation et d'avis assez important.
Sur la politique cela semble évident. En fonction de sa sensibilité idéologique, les faits sont interprétés différement. Mais il est assez drole de voir comment les autres nous voit, puisque nous les regardons nous même avec un regard deformé.
Dans ce fourre tout de reflexions, il faut pourtant prendre ce qui nous semble le meilleur, ou ce qui semble correspondre le mieux avec notre sensibilité. Une fois en accord avec soi même, il est plus aisé de s'ouvrir aux autres et d'essayer de les comprendre.
Ne pas être manipuler, lutter contre la facilité, garder son libre arbitre intellectuel, c'est probablement plus facile à dire qu'a faire, mais c'est une nécéssité vitale pour chacun de nous.
vendredi, avril 06, 2007
Voyages
Les circonstances font qu'aujourd hui j'ai très envie de voyager.
Pas très original je pense, tout le monde doit vouloir voyager, et la plupart des gens ne voyagent pas autant qu'ils le souhaiteraient.
Mais tant pis, d'ordinaire j'y pense et puis j'oublis, mais la il y a différentes choses qui font que je connais de plus en plus de gens ailleurs, dans d'autres pays, sur d'autres continents, dans d'autres fuseaux horaires.
Et j'ai envie d'aller les voir, juste pour les voir. Oublier combien c'est fatiguant les longues heures d'avion lorsque le film est pourri (ex: Spiderman 2, mon dieu quelle purge!!) et que l'attente est toujours longue. Oublier aussi que partir c'est aussi revenir, que ce n'est pas facile, quand on passe un bon moment.
Tout ca c'est vrai que c'est un petit peu enervant parfois, mais partir en voyage, pour le travail ou pour le loisir, ca reste un plaisir dementiel. Avoir la chance de cotoyer d'autres cultures, d'entendre et de voir des choses différentes, ca n'a pas de prix.
Sauf celui du temps, de l'organisation, et des moyens. Alors il faut tout trouver, tourner le mappemonde, et arréter un point. Partir pour vivre une experience, un moment unique. Si possible, et c'est un luxe, le partager avec d'autres pour que l'instant soit encore meilleur dans le partage et la fraternité.
Mais le principal, c'est de partir, vite, loin, ca urge!!!
Pas très original je pense, tout le monde doit vouloir voyager, et la plupart des gens ne voyagent pas autant qu'ils le souhaiteraient.
Mais tant pis, d'ordinaire j'y pense et puis j'oublis, mais la il y a différentes choses qui font que je connais de plus en plus de gens ailleurs, dans d'autres pays, sur d'autres continents, dans d'autres fuseaux horaires.
Et j'ai envie d'aller les voir, juste pour les voir. Oublier combien c'est fatiguant les longues heures d'avion lorsque le film est pourri (ex: Spiderman 2, mon dieu quelle purge!!) et que l'attente est toujours longue. Oublier aussi que partir c'est aussi revenir, que ce n'est pas facile, quand on passe un bon moment.
Tout ca c'est vrai que c'est un petit peu enervant parfois, mais partir en voyage, pour le travail ou pour le loisir, ca reste un plaisir dementiel. Avoir la chance de cotoyer d'autres cultures, d'entendre et de voir des choses différentes, ca n'a pas de prix.
Sauf celui du temps, de l'organisation, et des moyens. Alors il faut tout trouver, tourner le mappemonde, et arréter un point. Partir pour vivre une experience, un moment unique. Si possible, et c'est un luxe, le partager avec d'autres pour que l'instant soit encore meilleur dans le partage et la fraternité.
Mais le principal, c'est de partir, vite, loin, ca urge!!!
jeudi, avril 05, 2007
The Shield
Pour une fois ce n'est pas un film, mais une série télé dont j'avais envie de parler.
Canal retransmet depuis quelques temps les saisons de cette série, qui semble très connue aux Etats Unis, mais un peu moins en France.
Au départ je dois le reconnaitre j'étais septique. De nature intrigué par la recurrence des series télé, je m'etais jusque la contenter de regarder les series d'un bloc (ou en plusieurs petits blocs) et non pas de fonctionner par coupure toutes les semaines. Il faut aussi dire que les series que je regarde régulierement sont tres tres peu nombreuses.
Mais un soir j'ai regardé "The Shield" et j'avoue que j'ai accroché. Je suis tombé dans le piege traditionnel des series, affection pour les personnages, curiosité naturelle à vouloir savoir le reste, le talent des scénaristes et la qualité des acteurs ont fait le reste pour m'obliger à rester scotcher à la TV.
Donc oui The Shield est à mon sens une bonne série, qui fonctionne bien, et qui vide parfaitement la tete. Car tout est la, oui dans la capacité à la série a faire oublier le reste de la journée, pour passer un moment agréable.
Un peu en dehors de mes habitudes donc, c'est avec un bon plaisir que j'ai apprecié cette serie, que je recommande chaudement, malgré mon manque d'experience dans le domaine. J'ai suivis quelques épisodes de 24H mais pas très régulierement, ainsi que Desperate Housewives, avec un peu plus de régularité mais mon experience s'arrete la.
Je met donc avec plaisir The Shield dans mon top 3 des séries, (qui n'en compte que 3), et j'espere pouvoir regarder encore pas mal d'episodes sans me lasser, ce serait un plaisir...
Canal retransmet depuis quelques temps les saisons de cette série, qui semble très connue aux Etats Unis, mais un peu moins en France.
Au départ je dois le reconnaitre j'étais septique. De nature intrigué par la recurrence des series télé, je m'etais jusque la contenter de regarder les series d'un bloc (ou en plusieurs petits blocs) et non pas de fonctionner par coupure toutes les semaines. Il faut aussi dire que les series que je regarde régulierement sont tres tres peu nombreuses.
Mais un soir j'ai regardé "The Shield" et j'avoue que j'ai accroché. Je suis tombé dans le piege traditionnel des series, affection pour les personnages, curiosité naturelle à vouloir savoir le reste, le talent des scénaristes et la qualité des acteurs ont fait le reste pour m'obliger à rester scotcher à la TV.
Donc oui The Shield est à mon sens une bonne série, qui fonctionne bien, et qui vide parfaitement la tete. Car tout est la, oui dans la capacité à la série a faire oublier le reste de la journée, pour passer un moment agréable.
Un peu en dehors de mes habitudes donc, c'est avec un bon plaisir que j'ai apprecié cette serie, que je recommande chaudement, malgré mon manque d'experience dans le domaine. J'ai suivis quelques épisodes de 24H mais pas très régulierement, ainsi que Desperate Housewives, avec un peu plus de régularité mais mon experience s'arrete la.
Je met donc avec plaisir The Shield dans mon top 3 des séries, (qui n'en compte que 3), et j'espere pouvoir regarder encore pas mal d'episodes sans me lasser, ce serait un plaisir...
mercredi, avril 04, 2007
Le soleil se leve
Le soleil se leve tous les jours.
Moi tous les jours, j'ai pas forcément envie de me lever. Je vais pas me plaindre, je fais un travail qui me plait énormément, et je trouve que le matin est un moment assez surréaliste. Ce moment ou de rien, de la nuit, du néant, surgit le soleil, la lumière, c'est assez fantastique, con à dire bien sur, parce qu'évident, et parce que le romantisme de la situation a déjà été expliqué plusieurs fois, mais moi personnellement ca me touche.
Quand le soleil se leve de plus en plus tot, et quand de mon lit, j'entrevois les rayons du soleil percer dans ma chambre c'est un plaisir incomparable. En fait c'est surtout triste lorsqu'il n'y a pas de soleil et que du lit, j'entend les gouttes taper sur le toit.
De suite ca me met un peu le moral a zéro. Pourtant je ne suis pas cyclotimique. Quoi que peut etre un peu au fond. Quand je prend le café le matin (pas tous les matins hein, ca dépend si je suis à l'heure ou pas) en regardant le soleil, avant de faire ma check list de la journée, redemarrer le cerveau, j'ai la sensation que les connexions entre les neurones se fait mieux que les jours maussades.
Qu'il doit être difficile de vivre dans un pays/région/ville ou le soleil est peu présent. Même si j'adore l'Irlande, que son histoire, son peuple et sa géographie me passionne, il m'est difficile d'imaginer vivre la bas. Le soleil qu'ils n'ont pas ils l'ont dans leur coeur...
Oui mais quand même. Le soleil, c'est la chaleur, c'est la douce sensation lorsque l'on s'installe en terasse que quelque chose caresse son visage. Un plaisir simple, dénué de toute logique, pour peu que l'accompagnement soit excellent, le moment peut devenir magique.
Pour autant je ne suis pas amateur de coucher de soleil. Ca me touche moins que le lever, je ne sais pas, peut etre les circonstances font que je n'ai pas encore eu l'occasion d'apprecier un coucher de soleil à sa juste valeur, mais le fait est que je prefere le lever.
Comme l'argent, le soleil ne fait pas le bonheur, mais c'est vrai qu'il y contribue. Et en cette periode, ou le printemps commence à arriver doucement, les premices des plaisirs estivaux se font sentir de plus en plus, c'est avec une joie incroyable que j'attend tous les matins de me lever, pour savoir si la journée sera accompagnée ou non de mon ami Ra.
Moi tous les jours, j'ai pas forcément envie de me lever. Je vais pas me plaindre, je fais un travail qui me plait énormément, et je trouve que le matin est un moment assez surréaliste. Ce moment ou de rien, de la nuit, du néant, surgit le soleil, la lumière, c'est assez fantastique, con à dire bien sur, parce qu'évident, et parce que le romantisme de la situation a déjà été expliqué plusieurs fois, mais moi personnellement ca me touche.
Quand le soleil se leve de plus en plus tot, et quand de mon lit, j'entrevois les rayons du soleil percer dans ma chambre c'est un plaisir incomparable. En fait c'est surtout triste lorsqu'il n'y a pas de soleil et que du lit, j'entend les gouttes taper sur le toit.
De suite ca me met un peu le moral a zéro. Pourtant je ne suis pas cyclotimique. Quoi que peut etre un peu au fond. Quand je prend le café le matin (pas tous les matins hein, ca dépend si je suis à l'heure ou pas) en regardant le soleil, avant de faire ma check list de la journée, redemarrer le cerveau, j'ai la sensation que les connexions entre les neurones se fait mieux que les jours maussades.
Qu'il doit être difficile de vivre dans un pays/région/ville ou le soleil est peu présent. Même si j'adore l'Irlande, que son histoire, son peuple et sa géographie me passionne, il m'est difficile d'imaginer vivre la bas. Le soleil qu'ils n'ont pas ils l'ont dans leur coeur...
Oui mais quand même. Le soleil, c'est la chaleur, c'est la douce sensation lorsque l'on s'installe en terasse que quelque chose caresse son visage. Un plaisir simple, dénué de toute logique, pour peu que l'accompagnement soit excellent, le moment peut devenir magique.
Pour autant je ne suis pas amateur de coucher de soleil. Ca me touche moins que le lever, je ne sais pas, peut etre les circonstances font que je n'ai pas encore eu l'occasion d'apprecier un coucher de soleil à sa juste valeur, mais le fait est que je prefere le lever.
Comme l'argent, le soleil ne fait pas le bonheur, mais c'est vrai qu'il y contribue. Et en cette periode, ou le printemps commence à arriver doucement, les premices des plaisirs estivaux se font sentir de plus en plus, c'est avec une joie incroyable que j'attend tous les matins de me lever, pour savoir si la journée sera accompagnée ou non de mon ami Ra.
mardi, avril 03, 2007
La doublure
Ces temps ci, c'est un peu la perdition au niveau de l'interet cinématographique. Peu de films vraiment bien, rien d'excitant à se mettre sous le regard, je sais pas trop ou ca va me mener tout ca :)
Il y a bien "300" la derniere grosse production Hollywoodienne qui cartonne, il y a également d'autres films que je n'ai pas vu, et que j'ai envie de voir, mais soit ce n'est techniquement pas possible, soit je n'ai pas le temps.
Et quand tous les critères sont réunis, je me retrouve a regarder pitoyablement "La doublure". Que dire sur le film? Un Veber classique, dans la lignée des "Pignon", rien de bien formidable, ca divertit modestement, sans retourner la machoire, un bon film bien mou.
Ah oui Alice Taglioni. Je la trouvais deja pas extraordinaire dans "L'ile aux tresors", mais la j'ai eu la confirmation que cette pauvre actrice n'a pas les roles à la hauteur de son talent, que d'ailleurs il ne m'a pas été donné de voir.
Point de salut donc dans ce film, et ca ne va pas s'arranger. Rien d'excitant en perspective, vu que j'ai raté "Le papier ne peut pas envelopper la braise" le film de Rithy Panh, qui passait comme de par hasard sur France 3 (en avant premiere) en vendredi soir.
Donc bon en attendant on se contente de ce que l'on trouve, en attendant des jours meilleurs, et après avoir vu La doublure ca ne risque pas d'etre trop dur de trouver meilleur. Un film qui merite un 09/20 parce qu'il est moyen, mais que dans une comédie etre moyen ne suffit plus.
A quand une comédie interessante, drole, captivante ? Si quelqu'un a des noms, qu'il hésite pas...
Il y a bien "300" la derniere grosse production Hollywoodienne qui cartonne, il y a également d'autres films que je n'ai pas vu, et que j'ai envie de voir, mais soit ce n'est techniquement pas possible, soit je n'ai pas le temps.
Et quand tous les critères sont réunis, je me retrouve a regarder pitoyablement "La doublure". Que dire sur le film? Un Veber classique, dans la lignée des "Pignon", rien de bien formidable, ca divertit modestement, sans retourner la machoire, un bon film bien mou.
Ah oui Alice Taglioni. Je la trouvais deja pas extraordinaire dans "L'ile aux tresors", mais la j'ai eu la confirmation que cette pauvre actrice n'a pas les roles à la hauteur de son talent, que d'ailleurs il ne m'a pas été donné de voir.
Point de salut donc dans ce film, et ca ne va pas s'arranger. Rien d'excitant en perspective, vu que j'ai raté "Le papier ne peut pas envelopper la braise" le film de Rithy Panh, qui passait comme de par hasard sur France 3 (en avant premiere) en vendredi soir.
Donc bon en attendant on se contente de ce que l'on trouve, en attendant des jours meilleurs, et après avoir vu La doublure ca ne risque pas d'etre trop dur de trouver meilleur. Un film qui merite un 09/20 parce qu'il est moyen, mais que dans une comédie etre moyen ne suffit plus.
A quand une comédie interessante, drole, captivante ? Si quelqu'un a des noms, qu'il hésite pas...
lundi, avril 02, 2007
C'est quoi le bonheur ?
Question existentielle, qui anime tout le monde, et qui trouve autant de réponses qu'il existe d'etre humain.
Question aussi que j'aborde souvent, car comme tout à chacun elle me concerne, me touche et m'interpelle régulièrement.
Vaste sujet donc, et pourtant le bonheur, c'est simple. En tout cas ca se doit de l'etre. Bien loin de la théorie, la pratique nécessite vraiment une conjoncture de facteurs afin d'arriver à vraiment penser que l'on vit le bonheur.
D'ailleurs le bonheur est ce que l'on vit ? Je pense oui, le bonheur est obligatoirement basé sur le présent, seule notion de temps réelle, le passé n'existant plus, et le futur pas encore.
Alors le bonheur c'est le présent. Uniquement ? Non il faut aussi atteindre une certaine forme de sérénité d'esprit, et la déjà ca se complique.
Etre serein c'est avoir à un moment précis l'esprit dans une telle situation que rien ne vient perturber cet sérénité.
Autant dire que de vivre le bonheur, c'est aussi simple que trouver un bon film avec Jennifer Lopez. Pourtant la quete du bonheur est universelle et eternelle. On ne peut vivre sans le bonheur, ou tout du moins, sans l'espoir un jour de sentir cette béatitude nous enrober.
A titre purement personnel, j'avoue avoir du mal à imaginer cela, surtout d'etre conscient de cet état, parce que peut etre que dans le feu de l'action, le bonheur passe sans qu'on s'en rende compte, et qu'après on se demande si ce que l'on vient de vivre rentre bien dans les critères philosophiques du bonheur.
En fait peut etre ne faut il pas intellectualiser la question. La vivre uniquement, avec force, conviction et passion, et puis si par chance les instants de bonheur se transforment en état perenne, c'est surement que l'esprit à atteint le Nirvana....ou qu'on est mort...
PS : Mais non, la fin n'est pas triste :)
Question aussi que j'aborde souvent, car comme tout à chacun elle me concerne, me touche et m'interpelle régulièrement.
Vaste sujet donc, et pourtant le bonheur, c'est simple. En tout cas ca se doit de l'etre. Bien loin de la théorie, la pratique nécessite vraiment une conjoncture de facteurs afin d'arriver à vraiment penser que l'on vit le bonheur.
D'ailleurs le bonheur est ce que l'on vit ? Je pense oui, le bonheur est obligatoirement basé sur le présent, seule notion de temps réelle, le passé n'existant plus, et le futur pas encore.
Alors le bonheur c'est le présent. Uniquement ? Non il faut aussi atteindre une certaine forme de sérénité d'esprit, et la déjà ca se complique.
Etre serein c'est avoir à un moment précis l'esprit dans une telle situation que rien ne vient perturber cet sérénité.
Autant dire que de vivre le bonheur, c'est aussi simple que trouver un bon film avec Jennifer Lopez. Pourtant la quete du bonheur est universelle et eternelle. On ne peut vivre sans le bonheur, ou tout du moins, sans l'espoir un jour de sentir cette béatitude nous enrober.
A titre purement personnel, j'avoue avoir du mal à imaginer cela, surtout d'etre conscient de cet état, parce que peut etre que dans le feu de l'action, le bonheur passe sans qu'on s'en rende compte, et qu'après on se demande si ce que l'on vient de vivre rentre bien dans les critères philosophiques du bonheur.
En fait peut etre ne faut il pas intellectualiser la question. La vivre uniquement, avec force, conviction et passion, et puis si par chance les instants de bonheur se transforment en état perenne, c'est surement que l'esprit à atteint le Nirvana....ou qu'on est mort...
PS : Mais non, la fin n'est pas triste :)
dimanche, avril 01, 2007
Peur d'etre heureux
Dans le sport souvent, les analystes particulierement avertis, parlent de la notion de "peur de la victoire".
Cette notion peut paraitre surprenante, tant les deux concepts (peur et victoire) sont éloignés dans l'imaginaire collectif. Oui c'est vrai comment avoir peur de gagner ou de réussir.
Pourtant je crois que pour le commun des mortels, ceux qui ne font d'autres exploits que de vivre au quotidien, il existe également une peur de la victoire.
Je l'appelerais la "peur d'etre heureux". Il s'agit de se complaindre dans une situation difficile, complexe, qui peut aller de l'aspect économique à l'affectif en passant par le professionnel. A mon avis rien n'echappe théoriquement à cette peur.
Comment elle s'explique ? Je ne sais pas trop, mais elle doit etre l'expression de la difficulté à assumer, et à supporter une charge émotionnelle intense.
Comme le sportif, chacun essaye de rendre sa vie meilleure, jour après jour, dans tous les compartiments de la vie. Cela demande souvent beaucoup d'efforts, car il est plus complexe d'essayer d'avancer que de rester à sa place (voir reculer). Pourtant il existe une frange de la population qui n'arrive pas à transformer l'essai. Qui lorsqu'ils sont confrontés au bénéfice de leur investissement, ne peuvent assumer.
Et c'est la que tout capote. En amour ca peut s'apparenter à la peur de l'engagement, quand tout va trop bien, quand le ciel est sans nuage, il faut trouver une porte de sortie, car l'idée que cela fonctionne est trop proche et etouffante.
La peur d'etre heureux c'est aussi pour moi, ne pas savoir l'etre ou ne pas voir quand on l'est. Il est facile de se plaindre de sa situation, elle sera quoi qu'il arrive toujours insuffisante par rapport à une autre, mais etre heureux ce n'est pas comparer, mais vivre.
Est ce qu'etre heureux c'est savoir que l'on est heureux ? Peut on etre heureux sans le savoir, est ce que c'est la conscientisation de cet état qui conditionne l'etat lui même ?
Pour vivre heureux, vivons.....tout simplement (facile à dire)
Cette notion peut paraitre surprenante, tant les deux concepts (peur et victoire) sont éloignés dans l'imaginaire collectif. Oui c'est vrai comment avoir peur de gagner ou de réussir.
Pourtant je crois que pour le commun des mortels, ceux qui ne font d'autres exploits que de vivre au quotidien, il existe également une peur de la victoire.
Je l'appelerais la "peur d'etre heureux". Il s'agit de se complaindre dans une situation difficile, complexe, qui peut aller de l'aspect économique à l'affectif en passant par le professionnel. A mon avis rien n'echappe théoriquement à cette peur.
Comment elle s'explique ? Je ne sais pas trop, mais elle doit etre l'expression de la difficulté à assumer, et à supporter une charge émotionnelle intense.
Comme le sportif, chacun essaye de rendre sa vie meilleure, jour après jour, dans tous les compartiments de la vie. Cela demande souvent beaucoup d'efforts, car il est plus complexe d'essayer d'avancer que de rester à sa place (voir reculer). Pourtant il existe une frange de la population qui n'arrive pas à transformer l'essai. Qui lorsqu'ils sont confrontés au bénéfice de leur investissement, ne peuvent assumer.
Et c'est la que tout capote. En amour ca peut s'apparenter à la peur de l'engagement, quand tout va trop bien, quand le ciel est sans nuage, il faut trouver une porte de sortie, car l'idée que cela fonctionne est trop proche et etouffante.
La peur d'etre heureux c'est aussi pour moi, ne pas savoir l'etre ou ne pas voir quand on l'est. Il est facile de se plaindre de sa situation, elle sera quoi qu'il arrive toujours insuffisante par rapport à une autre, mais etre heureux ce n'est pas comparer, mais vivre.
Est ce qu'etre heureux c'est savoir que l'on est heureux ? Peut on etre heureux sans le savoir, est ce que c'est la conscientisation de cet état qui conditionne l'etat lui même ?
Pour vivre heureux, vivons.....tout simplement (facile à dire)
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