Hier en rentrant chez moi je passe devant un accident, embouteillages, il semble y avoir des blessés graves, les secours arrivent sur place pour donner assistance, rien de bien exceptionnel au royaume de l'insecurité routière.
Aux abords de la scène tragique qui se joue, je vois les spectateurs, les vautours attirés par l'odeur du sang, se pressés pour profiter de la douleur de quelques uns afin de satisfaire une curiosité tout aussi deplacée que morbide.
Je me suis interrogé sur les motivations de ces gens. Venir en aide aux accidentés? je ne crois pas ils n'étaient pas à la bonne distance pour cela. Mais alors quel interet de voir une pince pneumatique dechirée le toit d'une voiture? quel plaisir y a t il a voir des blessés evacués, des gens hagards chercher du reconfort auprès de qui veut leur en donner?
C'est la mm interrogation qui me frappe parfois en me demandant ce qui pousse ces personnes à regarder certaines emissions, mais en fait peut etre que la réponse est simple et universelle, la curiosité, et la possibilité de dire "j y etais, j ai participé à l'evenement", sont des causes possibles de cet attrouppement.
Je continu mon chemin, en laissant cette foule assoiffée de sensationnelle prendre son pied comme jamais...
Petit diary melant histoires quotidiennes et billets d'humeur sur le monde. (et aussi critiques ciné de qualité :))
dimanche, novembre 23, 2003
samedi, novembre 22, 2003
Le choix d'une vie
"Pour vivre heureux simplement, il faut voir clair et lutter. On peut alors se lancer à l'assaut du ciel", cette phrase est de Paul Eluard, j'aime le caractère solennel et indiscutable des citations, et celle la ne fait pas exception.
En y reflechissant bien il peut y avoir des choses interessantes à tirer de cette citation, non pas dans une tentative inutile d'explication semantique de la phrase, mais plutot dans son interpretation subjective qu'elle peut susciter chez son lecteur.
Pour ma part, deux idées essentielles marquent mon esprit, c'est ces notions de clareté et de lutte. La clareté m'evoque une vision limpide d'une situation, une vision globale, une perception d'ensemble , en somme un constat. A ce constat on y ajoute une action a entreprendre pour atteindre un but utopique ( vivre heureux simplement ), cette lutte est la clé de la phrase, elle donne une piste très vaste, qu'il faut emprunter. Il faut donc ce donner les moyens de reussir son objectif et si la situation est claire, il est evident que non seulement l'objectif est connu, mais les moyens à mettre en oeuvre pour atteindre cet objectif sont aussi determinés.
Une fois toutes ces choses reunies, il n'y a plus de limite, les barrières tombent et on peut se lancer à l'assaut du ciel. Il manque peut etre une chose dans cette citation, à mon avis il manque la notion d'acceptation des moyens à mettre en oeuvre. Je m'explique avec un cas simple et parlant. Pour rester dans la terminologie guerriere ( assaut, lutte), prenons un exemple guerrier. Après analyse de la situation, un combat pour la liberté d'un peuple est inevitable, a ce combat est associer la notion de violence, qui est un moyen indispensable pour atteindre son but préfixé ( la liberté ). Il suffit donc a present de prendre les armes et de lutter, ensuite rien n'est impossible. Il manque à mon avis l'acceptation de la violence, car meme si un moyen est necessaire, voir indispensable, il n'en est pas pour autant acceptable. Je n'ai pas choisis cet exemple au hasard, en effet cette citation de Paul Eluard ce retrouve dans les discours du Sous Commandant Marcos, rebelle pacifiste mexicain qui lutte pour la reconnaissance du Chiapas ( province Mexicaine). Ce que je comprend dans son discours, c est qu'il n'a pas accepter la violence, malgré sa necessité, et a appronfondi sa demarche en cherchant d'autres manières de poursuivre sa lutte (internet, anti-mondialisation etc...).
Je pense qu'outre cet exemple, la citation d'Eluard est adaptable à bcp de situations, pas forcement collective, mais la question de l'acceptation des moyens, conditionne dans tout les cas de figure, la reussite de l'objectif.
Si rien n est fais, alors rien ne changera. Le temps ne solutionne rien, il fournit des occasions, des fenetres où les choix peuvent avoir un impact, mais en soit il n'est rien. Pour saisir ces occasions, pour avoir la possibilité de faire un choix ( bons ou mauvais ), il faut être près. L'histoire de l'humanité est parsemée de personnsages qui ont su ce donner les moyens d'etre près à saisir des occasions, les reussites sont passées à la posterité, les echecs sont tombés dans l'oubli de l'histoire, mais quoi qu'il en soit il faut choisir. C'est à cette condition que je changerais mon avenir....faut il encore l'accepter...
En y reflechissant bien il peut y avoir des choses interessantes à tirer de cette citation, non pas dans une tentative inutile d'explication semantique de la phrase, mais plutot dans son interpretation subjective qu'elle peut susciter chez son lecteur.
Pour ma part, deux idées essentielles marquent mon esprit, c'est ces notions de clareté et de lutte. La clareté m'evoque une vision limpide d'une situation, une vision globale, une perception d'ensemble , en somme un constat. A ce constat on y ajoute une action a entreprendre pour atteindre un but utopique ( vivre heureux simplement ), cette lutte est la clé de la phrase, elle donne une piste très vaste, qu'il faut emprunter. Il faut donc ce donner les moyens de reussir son objectif et si la situation est claire, il est evident que non seulement l'objectif est connu, mais les moyens à mettre en oeuvre pour atteindre cet objectif sont aussi determinés.
Une fois toutes ces choses reunies, il n'y a plus de limite, les barrières tombent et on peut se lancer à l'assaut du ciel. Il manque peut etre une chose dans cette citation, à mon avis il manque la notion d'acceptation des moyens à mettre en oeuvre. Je m'explique avec un cas simple et parlant. Pour rester dans la terminologie guerriere ( assaut, lutte), prenons un exemple guerrier. Après analyse de la situation, un combat pour la liberté d'un peuple est inevitable, a ce combat est associer la notion de violence, qui est un moyen indispensable pour atteindre son but préfixé ( la liberté ). Il suffit donc a present de prendre les armes et de lutter, ensuite rien n'est impossible. Il manque à mon avis l'acceptation de la violence, car meme si un moyen est necessaire, voir indispensable, il n'en est pas pour autant acceptable. Je n'ai pas choisis cet exemple au hasard, en effet cette citation de Paul Eluard ce retrouve dans les discours du Sous Commandant Marcos, rebelle pacifiste mexicain qui lutte pour la reconnaissance du Chiapas ( province Mexicaine). Ce que je comprend dans son discours, c est qu'il n'a pas accepter la violence, malgré sa necessité, et a appronfondi sa demarche en cherchant d'autres manières de poursuivre sa lutte (internet, anti-mondialisation etc...).
Je pense qu'outre cet exemple, la citation d'Eluard est adaptable à bcp de situations, pas forcement collective, mais la question de l'acceptation des moyens, conditionne dans tout les cas de figure, la reussite de l'objectif.
Si rien n est fais, alors rien ne changera. Le temps ne solutionne rien, il fournit des occasions, des fenetres où les choix peuvent avoir un impact, mais en soit il n'est rien. Pour saisir ces occasions, pour avoir la possibilité de faire un choix ( bons ou mauvais ), il faut être près. L'histoire de l'humanité est parsemée de personnsages qui ont su ce donner les moyens d'etre près à saisir des occasions, les reussites sont passées à la posterité, les echecs sont tombés dans l'oubli de l'histoire, mais quoi qu'il en soit il faut choisir. C'est à cette condition que je changerais mon avenir....faut il encore l'accepter...
Constatations nocturnes
Un constat peut etre vu comme un instantané d'une situation donnée. La richesse des enseignements reside dans l'analyse de ce constat et des reperecussions eventuelles qu'elle peut avoir.
Dans une société, si un constat demontre que celle-ci n'est pas en adequation avec la réalité économique, et qu'elle ne va pas dans le sens qu'elle c'etait intialement donnée, les consequences seront certainement un remplacement des dirigeants avant de remettre la société sur de bon rail.
Quand un constat montre que la terre telle qu'elle a été pensé depuis des millenaires, ne peux interagir avec le reste du systeme solaire sans contresens flagrant, il faut repensé le modele de depart en incorporant les données exterieures, et trouvé un esprit eclairé pour dire que la terre est ronde et non plate.
Pour ce qui est de l'individu, ca me semble plus complexe. En effet si l'on constate qu'un individu n'est pas en adequation avec le monde qui l'entoure quelles peuvent etre les alternatives? Virer l'individu? ca me parait peu credible puisque cette solution entrainerait une elimination definitive, qui n'apporterait pas de réelles contributions à la démarche necessaire. Attendre un esprit eclairé? Les esprits eclairé sont rares, et les attendre consiste à mon avis à rentrer dans un piege abscon qui ne debouchera sur aucune action constructive à long terme.
Quoi faire alors?
L'homme n'est pas une société, et n'est pas la terre, l'homme doit pour pouvoir tirer profit d'une analyse d'un tel constat, ne pas hesiter à remettre en cause les bases les plus solides de sa vie. La remise en cause depend de l'objectif fixé, et ne peut etre en soit une réponsé unique à une question complexe.
La réponse existe en chacun de nous, en partant du predicat simple que rien n'est impossible, que rien n'est acquis, et que rien n'est figé. A partir de la, le monde est ouvert, et permet de percevoir plus clairement la solution personalisé à un constat pourtant bien général...
Dans une société, si un constat demontre que celle-ci n'est pas en adequation avec la réalité économique, et qu'elle ne va pas dans le sens qu'elle c'etait intialement donnée, les consequences seront certainement un remplacement des dirigeants avant de remettre la société sur de bon rail.
Quand un constat montre que la terre telle qu'elle a été pensé depuis des millenaires, ne peux interagir avec le reste du systeme solaire sans contresens flagrant, il faut repensé le modele de depart en incorporant les données exterieures, et trouvé un esprit eclairé pour dire que la terre est ronde et non plate.
Pour ce qui est de l'individu, ca me semble plus complexe. En effet si l'on constate qu'un individu n'est pas en adequation avec le monde qui l'entoure quelles peuvent etre les alternatives? Virer l'individu? ca me parait peu credible puisque cette solution entrainerait une elimination definitive, qui n'apporterait pas de réelles contributions à la démarche necessaire. Attendre un esprit eclairé? Les esprits eclairé sont rares, et les attendre consiste à mon avis à rentrer dans un piege abscon qui ne debouchera sur aucune action constructive à long terme.
Quoi faire alors?
L'homme n'est pas une société, et n'est pas la terre, l'homme doit pour pouvoir tirer profit d'une analyse d'un tel constat, ne pas hesiter à remettre en cause les bases les plus solides de sa vie. La remise en cause depend de l'objectif fixé, et ne peut etre en soit une réponsé unique à une question complexe.
La réponse existe en chacun de nous, en partant du predicat simple que rien n'est impossible, que rien n'est acquis, et que rien n'est figé. A partir de la, le monde est ouvert, et permet de percevoir plus clairement la solution personalisé à un constat pourtant bien général...
mercredi, novembre 19, 2003
Instant magique
La scène ce passe dans la rue, nous sommes en milieu de matinée, je laisse mon esprit vagabonder dans les meandres de mon imagination, mon regard porté sur rien de precis, croisant des ombres sans importance, sans consistance.
Rien de ce que je vois n'arrive a me toucher réelement, c'est normal, c'est la foule qui navigue d'un point à un autre avec des but differents mais avec la mm indifference pour ce qui les entourent. Je suis comme eux, je suis dans la foule, rien ne me distingue, et c'est surement aussi bien...
Jusqu'a ce qu'une vision me ramene à la réalité. A quelques metres de moi marchant ds ma direction, je vois une petite fille, je lui donnerais 7 ou 8 ans, je ne saurais dire ce qu'elle portait, ou des details physiques precis, par contre son regard me renvoit l'image de mon ame interieur.
Je lis dans ces yeux un desenchantement frappant, un regard inexpressif au point de formé une expression à part entière. Quel contraste avec cette fragilité apparente, cette candeur naturelle degager par une enfant de son age. Une drole d'impression me traverse, comme si j'avais un miroir devant les yeux, un miroir grace auquel je peux penetrer au plus profond de mon ame, comme si pour atteindre l'abime, une aide exterieure etait necessaire, et qu'elle est pris l'apprence de ce qui est de plus angelique chez l'homme.
Bizzarement j'ai ressenti un trouble devant cette vision, comme si la magie de cet instant ne pouvait etre perçu que par la subjectivité de mon interpretation.
A contre coups, je me demande si c'est la melancolie de cette jeune fille associé a sa fragilité naturelle qui m'a touché, ou si c'est le reflet troublant de mon ame dans son regard...
Rien de ce que je vois n'arrive a me toucher réelement, c'est normal, c'est la foule qui navigue d'un point à un autre avec des but differents mais avec la mm indifference pour ce qui les entourent. Je suis comme eux, je suis dans la foule, rien ne me distingue, et c'est surement aussi bien...
Jusqu'a ce qu'une vision me ramene à la réalité. A quelques metres de moi marchant ds ma direction, je vois une petite fille, je lui donnerais 7 ou 8 ans, je ne saurais dire ce qu'elle portait, ou des details physiques precis, par contre son regard me renvoit l'image de mon ame interieur.
Je lis dans ces yeux un desenchantement frappant, un regard inexpressif au point de formé une expression à part entière. Quel contraste avec cette fragilité apparente, cette candeur naturelle degager par une enfant de son age. Une drole d'impression me traverse, comme si j'avais un miroir devant les yeux, un miroir grace auquel je peux penetrer au plus profond de mon ame, comme si pour atteindre l'abime, une aide exterieure etait necessaire, et qu'elle est pris l'apprence de ce qui est de plus angelique chez l'homme.
Bizzarement j'ai ressenti un trouble devant cette vision, comme si la magie de cet instant ne pouvait etre perçu que par la subjectivité de mon interpretation.
A contre coups, je me demande si c'est la melancolie de cette jeune fille associé a sa fragilité naturelle qui m'a touché, ou si c'est le reflet troublant de mon ame dans son regard...
lundi, novembre 17, 2003
Panic Room
Cela fait quelquetemps que la rencontre entre un réalisateur que j'apprecie beaucoup, et une actrice qui reste à mes yeux une reference me donnait envie de passer un bon moment devant un film. C'est enfin chose fait avec Panic Room, de l'excellent David Fincher, on y retrouve une realisation soignée, propre, avec des effets de caméra qui serve la cause du film et qui appuit encore un peu plus l'ambiance lourde de ce film.
C est vrai, c'est un film hollywoodien. C'est vrai il est assez facile de comprendre ce qui va se passer, mais quel plaisir de voir Madame Jodie Foster en mere de famille paranoiaque.
Seven et Fight Club, les deux derniers films de Fincher, mettaient en exergue une réalisation très soignée, avec un scenario plus que superbe, peut etre ici le scénario passe au second plan, mais il n'en reste pas moins une impression très agreable.
Je ne suis pas très objectif, j adore Jodie Foster, que ce soit du point de vue anatomique, ou du point de vue de la justesse de son jeu.
Mais on y retrouve un Forrest Whitaker egal à lui meme, toujours dans la mm trempe de ses personnages ambivalents mais attachants, et un Jared Leto très convaincant en heritier lésé et accroc aux amphets.
Pas le plus grand film de tout les temps, mais tous les films ne peuvent etre le meilleur, et malgré cela il est toujours très plaisant de regarder un cinema de qualité. Le cinema fait parti de la grande famille de l'art et a ce titre, il en acquiere les caracteristiques, et la principale à mes yeux, qui est la subjectivité.
Une opinion sur un film, sur une chanson ou sur une peinture depend tellement du rapport sensibilité/emotion entre l'oeuvre et l'amateur, qu'à la limite une critique peux paraitre inutile. Une critique peut etre, mais un conseil étant toujours bon à prendre, si vous n'avez pas vu Panic Room, n'hesitez pas vous passerez un très bon moment.
C est vrai, c'est un film hollywoodien. C'est vrai il est assez facile de comprendre ce qui va se passer, mais quel plaisir de voir Madame Jodie Foster en mere de famille paranoiaque.
Seven et Fight Club, les deux derniers films de Fincher, mettaient en exergue une réalisation très soignée, avec un scenario plus que superbe, peut etre ici le scénario passe au second plan, mais il n'en reste pas moins une impression très agreable.
Je ne suis pas très objectif, j adore Jodie Foster, que ce soit du point de vue anatomique, ou du point de vue de la justesse de son jeu.
Mais on y retrouve un Forrest Whitaker egal à lui meme, toujours dans la mm trempe de ses personnages ambivalents mais attachants, et un Jared Leto très convaincant en heritier lésé et accroc aux amphets.
Pas le plus grand film de tout les temps, mais tous les films ne peuvent etre le meilleur, et malgré cela il est toujours très plaisant de regarder un cinema de qualité. Le cinema fait parti de la grande famille de l'art et a ce titre, il en acquiere les caracteristiques, et la principale à mes yeux, qui est la subjectivité.
Une opinion sur un film, sur une chanson ou sur une peinture depend tellement du rapport sensibilité/emotion entre l'oeuvre et l'amateur, qu'à la limite une critique peux paraitre inutile. Une critique peut etre, mais un conseil étant toujours bon à prendre, si vous n'avez pas vu Panic Room, n'hesitez pas vous passerez un très bon moment.
vendredi, novembre 14, 2003
Bilan de la semaine
Ce vendredi annonce la fin d'une semaine plutot riche en enseignement. Tout d'abord je crois qu'il ne sert a rien de faire confiance à des organismes comme l'anpe ou les assedic pour trouvé un job. Derniere trouvaille en date de mes amis de la meilleure agence de france, leur idée lumineuse de fondé un club. Après le yatch club, le rotary club et le tiffany club, voila le chomeur club. Pour t inscrire? c'est tres simple, tu es jeune, plein de motivation pour trouver un travail, mais les offres ne se bousculent pas pour ton profil: pas de probleme, lanpe a eu l'idée de te mettre en relation avec.......... d'autres chomeurs. Bien sur pour ta recherche il aurait été judicieux de te mettre en contact avec des employeurs, des decideurs du monde de l'entreprise, mais la au moins tu peux discuter de ta condition avec des personnes qui vivent la meme experience que toi.
En bonus cette semaine, des nouvelles des assedic. Je les adore eux, ils me demandent de "mettre à jour" ma situation. En clair pointer pour dire que je suis toujours présent sur leur liste.
On pourrait croire que ca a été une mauvaise semaine, mais pas du tout. Pas mal de contact positif, des elements qui sont en train de s'imbriquer pour peut etre bientot me permettre de ne plus parler de mes histoires avec les organismes qui "m aide" a chercher un travail.
A part ca, une bonne nouvelle, un ami que je n'avais pas vu depuis 6 ans, m a ecrit un mail pour reprendre contact avec moi, c'est vraiment cool, parce que meme si la vie nous a mener sur des chemins differents, j etais assez ennuyé d'avoir perdu sa trace.
Ma meilleure amie se concentre pour une evaluation, donc on se voit plus bcp, mais j'ai eu quelques news dans la semaine, c'est agreable de savoir que les gens qu on aime vont bien.
En bonus cette semaine, des nouvelles des assedic. Je les adore eux, ils me demandent de "mettre à jour" ma situation. En clair pointer pour dire que je suis toujours présent sur leur liste.
On pourrait croire que ca a été une mauvaise semaine, mais pas du tout. Pas mal de contact positif, des elements qui sont en train de s'imbriquer pour peut etre bientot me permettre de ne plus parler de mes histoires avec les organismes qui "m aide" a chercher un travail.
A part ca, une bonne nouvelle, un ami que je n'avais pas vu depuis 6 ans, m a ecrit un mail pour reprendre contact avec moi, c'est vraiment cool, parce que meme si la vie nous a mener sur des chemins differents, j etais assez ennuyé d'avoir perdu sa trace.
Ma meilleure amie se concentre pour une evaluation, donc on se voit plus bcp, mais j'ai eu quelques news dans la semaine, c'est agreable de savoir que les gens qu on aime vont bien.
mardi, novembre 11, 2003
Mémoire des Hommes
Aujourd hui on commemore l'armistice du 11 novembre 1918. Pour beaucoup d'ecoliers, c'est un jour ferié, où l on a pas cours.
Je n'ai pas l'esprit patriotique, et encore moins pour la France, mais il est des chiffres qui font reflechir : 70 millions d'hommes mobilisés dans le monde, plus d'un dixieme tombé sur les champs de bataille, que peut on penser de tout cela?
Moi ca me terrifie, et en même temps ca me laisse perplexe. Non pas sur le constat edifiant de cette guerre, mais sur les hommes.
Bien sur je pense à tout ces "poilus" mort, ou blessé il y a 85 ans, mais j'ai aussi tendance a penser aux victimes actuelles des guerres modernes.
Tchétchenie, Palestine, Israel, Irak, Erithrée, Colombie et j'en passe et des meilleurs, combien de gens meurt aujourd'hui ? combien d'hommes sont mobilisés tout autour de la planete? Il n'y a pas de decompte possible, personne ne prend le temps de se souvenir de ces victimes, et pire peut etre personne ne prend le temps d'eviter que ces hommes deviennent victimes.
Ca peut paraitre utopiste et post68tare que de vouloir la paix dans le monde, la paix n'existera jamais, et on peux en rechercher les causes pendant des millenaires la seule raison universelle est "l homme".
Puisque les guerres sont humaines, elles ne disparaitront jamais, et donc essayer de faire qu'elles n'arrivent pas ne sert a rien. Oui bien sur au cas par cas il faut essayer de resoudre un maximum de conflit avant que cela ne degenere, mais dans la plupart des cas, il faudra saluer l'initiative dans l'esprit de celle de "memoire des hommes", aujourd hui.
Il faut se souvenir des hommes, a defaut de les premunir...
Je n'ai pas l'esprit patriotique, et encore moins pour la France, mais il est des chiffres qui font reflechir : 70 millions d'hommes mobilisés dans le monde, plus d'un dixieme tombé sur les champs de bataille, que peut on penser de tout cela?
Moi ca me terrifie, et en même temps ca me laisse perplexe. Non pas sur le constat edifiant de cette guerre, mais sur les hommes.
Bien sur je pense à tout ces "poilus" mort, ou blessé il y a 85 ans, mais j'ai aussi tendance a penser aux victimes actuelles des guerres modernes.
Tchétchenie, Palestine, Israel, Irak, Erithrée, Colombie et j'en passe et des meilleurs, combien de gens meurt aujourd'hui ? combien d'hommes sont mobilisés tout autour de la planete? Il n'y a pas de decompte possible, personne ne prend le temps de se souvenir de ces victimes, et pire peut etre personne ne prend le temps d'eviter que ces hommes deviennent victimes.
Ca peut paraitre utopiste et post68tare que de vouloir la paix dans le monde, la paix n'existera jamais, et on peux en rechercher les causes pendant des millenaires la seule raison universelle est "l homme".
Puisque les guerres sont humaines, elles ne disparaitront jamais, et donc essayer de faire qu'elles n'arrivent pas ne sert a rien. Oui bien sur au cas par cas il faut essayer de resoudre un maximum de conflit avant que cela ne degenere, mais dans la plupart des cas, il faudra saluer l'initiative dans l'esprit de celle de "memoire des hommes", aujourd hui.
Il faut se souvenir des hommes, a defaut de les premunir...
Apprendre à Ne Pas Espérer
Toi jeune diplomé plein d'entrain et de motivation, tu reves de travailler après tes etudes dans un job qui t'apportera à la fois satisfaction et epanouissement, pour cela une seule porte à pousser, celle de l'anpe.
Tel pourrait etre le discours marketing d'une campagne de pub pour cette merveilleuse agence, si seulement elle avait besoin de faire de la pub. A quoi bon valoriser les nombreuses qualités qu'elle recellent, puisqu'elle possede un monopole dans le domaine de la recherche d'emploi. Monopole il est vrai contesté par les boites d'interim, ou les chercheurs de tetes, mais "théoriquement" l'anpe est reine dans son domaine.
Qu'est ce qu'il pourrait y avoir de mal à ca?
Rien evidemment, tant qu'on en a pas fait l'experience.
J'en ai personnellement fait l'experience aujourd'hui, après une heure et demi d'attente à tourner ,chercher la perle rare, et mater les offres sur les magnifiques et très modernes bornes mit gracieusement à la disposition des clients, j'ai finalement été appelé pour m'entretenir avec une conseillère. Que ce terme me plait.
Il fallait en effet preciser que cette personne etait la pour dilluer des conseils, ca ne sautait pas au yeux du premier coup. Bien sur elle pianotte avec facilité sur son clavier les informations inscrites sur le cv, bien sur elle essaye avec toute la bonne volonté necessaire à ce poste, de prendre en considération le cas particulier qu'elle a en face d'elle. En effet théoriquement tous les rouages sont bien huilés, la machine marche parfaitement, rien ne coince. Concrètement maintenant, si l'on gratte un peu, il n'y a rien qui puisse faire evolué ma recherche d'emploi.
Je ne dis pas que j'attendais ce rendez vous comme le messie, je dis seulement que j'ai perdu 2h30 de mon temps et que le système tel que j'y ai été confronté ne m'apparait pas efficace.
Peut etre vaut il mieux passer par d'autres moyens pour trouver un travail, ca parait surement evident, quand je l'ecris ca me parait egalement evident, mais voir que l'unique organisme officiel chargé de la recherche d'emploi possede une qualité de service plus que mediocre, me laisse un gout amer dans la bouche.
Tel pourrait etre le discours marketing d'une campagne de pub pour cette merveilleuse agence, si seulement elle avait besoin de faire de la pub. A quoi bon valoriser les nombreuses qualités qu'elle recellent, puisqu'elle possede un monopole dans le domaine de la recherche d'emploi. Monopole il est vrai contesté par les boites d'interim, ou les chercheurs de tetes, mais "théoriquement" l'anpe est reine dans son domaine.
Qu'est ce qu'il pourrait y avoir de mal à ca?
Rien evidemment, tant qu'on en a pas fait l'experience.
J'en ai personnellement fait l'experience aujourd'hui, après une heure et demi d'attente à tourner ,chercher la perle rare, et mater les offres sur les magnifiques et très modernes bornes mit gracieusement à la disposition des clients, j'ai finalement été appelé pour m'entretenir avec une conseillère. Que ce terme me plait.
Il fallait en effet preciser que cette personne etait la pour dilluer des conseils, ca ne sautait pas au yeux du premier coup. Bien sur elle pianotte avec facilité sur son clavier les informations inscrites sur le cv, bien sur elle essaye avec toute la bonne volonté necessaire à ce poste, de prendre en considération le cas particulier qu'elle a en face d'elle. En effet théoriquement tous les rouages sont bien huilés, la machine marche parfaitement, rien ne coince. Concrètement maintenant, si l'on gratte un peu, il n'y a rien qui puisse faire evolué ma recherche d'emploi.
Je ne dis pas que j'attendais ce rendez vous comme le messie, je dis seulement que j'ai perdu 2h30 de mon temps et que le système tel que j'y ai été confronté ne m'apparait pas efficace.
Peut etre vaut il mieux passer par d'autres moyens pour trouver un travail, ca parait surement evident, quand je l'ecris ca me parait egalement evident, mais voir que l'unique organisme officiel chargé de la recherche d'emploi possede une qualité de service plus que mediocre, me laisse un gout amer dans la bouche.
dimanche, novembre 09, 2003
La mort des disquettes?
Après un rangement dans le compartiment informatique de mon bureau, j'ai eu l'agreable surprise de retrouver un stock de disquette. Il doit y en avoir 30 ou 40, certaines utilisées d'autres non, mais quand je les ai prises en mains, je me suis demandé depuis combien de temps je n'en avais pas utilisée.
Baisse des prix des CDRW, avenement des clés USB, explosion des espaces de stockage sur Internet, les disquettes ont elles fait leur temps?
En informatique, et dans les hautes technologies en général il n'y a pas de place pour la nostalgie ou le romantisme. certains pensent qu'il faut enlever le lecteur de disquette des ordis, d'autres l'ont carrement enlevé, mais quoi qu'il en soit ces 1,44MB d'espace ont fait leur travail et plus que bien.
Des fanatiques, des collectionneurs de vieilleries, aiment conserver des objets issu d'un temps revolu. Amstrad, atari, et d'autres font l'objet de convoitise innatendue. L'informatique est une science récente, mais qui evolue vite, trop vite peut etre.
Cette evolution comme dans l'automobile ou pleins d'autres secteur impose l'excellence et la nouveauté en condamnant l'obsolescence.
Non la disquette n'est pas morte, mais elle ne lutte plus. Elle a rendu des services mais les projecteurs sont tournés vers les petits jeunes, les téléphones se synchronisant avec les ordis pour pouvoir transporter des infos, elle va prendre sa retraite bien merité, et trouvera une place dans le musée de l'informatique a coté de sa grande soeur...
Je vais depoussierer les miennes, lire certaines voir quel type d'information y est encore stocké, et je les rangerais dans un coin, les oubliant jusqu'a ce que renaisse mon etonnant lors d'un rangement futur.
Baisse des prix des CDRW, avenement des clés USB, explosion des espaces de stockage sur Internet, les disquettes ont elles fait leur temps?
En informatique, et dans les hautes technologies en général il n'y a pas de place pour la nostalgie ou le romantisme. certains pensent qu'il faut enlever le lecteur de disquette des ordis, d'autres l'ont carrement enlevé, mais quoi qu'il en soit ces 1,44MB d'espace ont fait leur travail et plus que bien.
Des fanatiques, des collectionneurs de vieilleries, aiment conserver des objets issu d'un temps revolu. Amstrad, atari, et d'autres font l'objet de convoitise innatendue. L'informatique est une science récente, mais qui evolue vite, trop vite peut etre.
Cette evolution comme dans l'automobile ou pleins d'autres secteur impose l'excellence et la nouveauté en condamnant l'obsolescence.
Non la disquette n'est pas morte, mais elle ne lutte plus. Elle a rendu des services mais les projecteurs sont tournés vers les petits jeunes, les téléphones se synchronisant avec les ordis pour pouvoir transporter des infos, elle va prendre sa retraite bien merité, et trouvera une place dans le musée de l'informatique a coté de sa grande soeur...
Je vais depoussierer les miennes, lire certaines voir quel type d'information y est encore stocké, et je les rangerais dans un coin, les oubliant jusqu'a ce que renaisse mon etonnant lors d'un rangement futur.
Bienvenue au club
9 Novembre 2003. Aujourd hui je commence l'aventure du TiffanyClub. Un club dont je suis le seul membre, et dans lequel la pensée et l'expression de celle ci est libre. Un bonne tranche de vie d'un internaute lambda, assaisonée avec des posts plus conceptuel sur la vie en général, des réflexions sur le monde qui m'entoure, telle est la recette de ce Club, qui se veut un diary, mis à jour regulierement.
Pour commencer un petit retour en arriere. Aujourd hui je me souvient d'une journée qui m'avait marqué. Je n'etais pas bien agé, j'etais dans le salon de la maison, et tout le monde regardait la télévision. Je me demandais ce qui pouvais bien les fasciner autant, qu'est ce qui pouvait les faire rester silencieux devant un presentateur à la voix monocorde commenté les images comme si celle ci etaient historiques.
Je me souviens bien mettre presque coller à la télévision pour assimilé le caractère exceptionnel de ce moment. En quoi les images de la demolition d'un mur par une foule enthousiaste, ou bien les gros plans sur les larmes de personnes s'etreignant pouvaient expliquer le silence et le respect exprimé par le monde entier. Comme le contraste etait saisissant. D'un coté une intensité brulante comme si un monde nouveau venant de s'ouvrir, comme si on revivait en image la decouverte du Nouveau Monde, et de l'autre ce slience, cette atmosphere solennelle des commentateurs, qui tentent avec peu de reussite de prendre du recul sur l'evenement et d'essayer d'en tirer les consequences en se projetant dans l'avenir.
C'etait un drole de moment, j'avais conscience de vivre un moment unique, meme si je n'en percevais pas la pleine signification. Un jour je comprendrais la symbolique de cet instant, j'en etais persuadé...
9 novembre 1989 : chute du mur de Berlin...
Pour commencer un petit retour en arriere. Aujourd hui je me souvient d'une journée qui m'avait marqué. Je n'etais pas bien agé, j'etais dans le salon de la maison, et tout le monde regardait la télévision. Je me demandais ce qui pouvais bien les fasciner autant, qu'est ce qui pouvait les faire rester silencieux devant un presentateur à la voix monocorde commenté les images comme si celle ci etaient historiques.
Je me souviens bien mettre presque coller à la télévision pour assimilé le caractère exceptionnel de ce moment. En quoi les images de la demolition d'un mur par une foule enthousiaste, ou bien les gros plans sur les larmes de personnes s'etreignant pouvaient expliquer le silence et le respect exprimé par le monde entier. Comme le contraste etait saisissant. D'un coté une intensité brulante comme si un monde nouveau venant de s'ouvrir, comme si on revivait en image la decouverte du Nouveau Monde, et de l'autre ce slience, cette atmosphere solennelle des commentateurs, qui tentent avec peu de reussite de prendre du recul sur l'evenement et d'essayer d'en tirer les consequences en se projetant dans l'avenir.
C'etait un drole de moment, j'avais conscience de vivre un moment unique, meme si je n'en percevais pas la pleine signification. Un jour je comprendrais la symbolique de cet instant, j'en etais persuadé...
9 novembre 1989 : chute du mur de Berlin...
Inscription à :
Articles (Atom)